...on pourrait se croire à Pompéia, rue de Mercure ou de la Fortune, avant l'éruption du volcan; car ce n'est point un à peu près élégant, mais une restitution rigoureuse où Vitruve lui-même ne trouverait rien à reprendre, un traité d'archéologie d'une science profonde écrit en pierre et qu'on peut habiter.
The interior deserves inspection, but it can hardly be called a specimen of ancient Roman domestic architecture, as the plan of villas differed considerably from that of ordinary dwelling-houses.
When Jérôme went into exile, he sold it to investors, who opened it to the public during the Exposition Universelle of 1867. It was abandoned during the Siege of 1871 and was in poor condition by 1889.[5] It was demolished in 1891, and the Hôtel Porgès was built on the site.[3]
^Théophile Gautier, Arsène Houssaye, Charles Coligny, Le palais pompéien de l'avenue Montaigne : études sur la maison gréco-romaine, ancienne résidence du prince Napoléon, Paris, Palais pompéien, 1866
^ abKatharine T. von Stackelberg, Elizabeth Macaulay-Lewis, "Architectural Reception and the Neo-Antique" in Katharine T. von Stackelberg, Elizabeth Macaulay-Lewis, eds, Housing the New Romans: Architectural Reception and Classical Style in the Modern World, 2017, ISBN0190664916