Il est élu avec seulement 20 voix d'écarts lors d'une élection partielle organisée à la suite de la démission de Jean Tardito le . Il est alors le second adjoint de Tardito à la mairie d'Aubagne, il resta conseiller municipal de la ville jusqu'en 2011. Le député-sortant milite ouvertement pour son élection, et conserver la mainmise de la gauche sur cette circonscription, bien que Libération désigne Belviso comme « un pur apparatchik sans charisme »[1].
Son adversaire Bernard Deflesselles conteste le résultat. Le , le Conseil Constitutionnel annule l'élection pour fraude électorale. Une nouvelle élection partielle est organisée. Il perd, victime de la polémique[1]. La circonscription bascule alors à droite avec Deflesselles.
En 2011, en raison de son implication dans l'affaire Guérini, il démissionne de tous ses mandats électifs[2] pour travailler comme conseiller dans le privé[3]. En 2021, il est condamné dans le cadre l'affaire Guérini à cinq ans d'inéligibilité mais fait appel[4].