Le village est situé à 1 175 m d’altitude[2], dans la haute vallée du Verdon. Les gorges de Saint-Pierre[3], étroites, rocheuses, agrémentées de sources, de cascades et d’arbres, sont signalées comme un site grandiose[4].
Les élus de la Communauté de communes du Haut Verdon - Val d’Allos se sont joints à ceux du Pays A3V pour exprimer leurs craintes légitimes face aux deux projets régionaux de méga centrales à biomasse pour la production d’électricité[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 982 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Allos_sapc », sur la commune d'Allos à 11 km à vol d'oiseau[13], est de 8,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043,5 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 34,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[14],[15].
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton d'Allos-Colmars auquel appartient est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[20], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[21].
La commune de Beauvezer est également exposée à quatre autres risques naturels[21] :
La commune de Beauvezer n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[22].
Le plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR)[23] de la commune a été approuvé en 2007 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et d’avalanche[22] et le Dicrim n’existe pas encore[24].
Toponymie
La localité apparaît dans les chartes en 1200, sous la forme Belvezer. Son nom vient de l’occitanbèl et vezer, signifiant « bel aspect »[25], ou « beau voir »[26]. C’est la même étymologie que pour les communes nommées Belbèze et Belvèze[25].
Histoire
Antiquité
Le nom du peuple installé dans la haute vallée du Verdon n’est pas certain, mais il peut s’agir des Eguiturii[27].
À la fin de l’Empire romain, la haute vallée du Verdon dépend de la civitas et de l’évêché de Thorame[28].
Moyen Âge
Le village dispose d’un consulat dès 1233, qui lui est accordé en même temps et selon les mêmes termes qu’Allos et Colmars[29],[30] ; le consulat est une institution collégiale comprenant un chevalier, désigné parmi les nobles de la localité, trois notables, et le bailli ou bayle, représentant le comte. La charte de 1233 précise quels sont les cas où la justice sera rendue par les consuls (la justice civile) et limite le montant des cens et du droit de cavalcade prélevés par le comte[29].
Lors de la guerre de l’Union d’Aix (1382-1387), Charles de Duras et Marie de Blois, agissant pour le comte de son fils Louis II d'Anjou, s’affrontent pour recueillir l’héritage de la reine Jeanne. C’est l’occasion pour les seigneurs comme pour les communautés de négocier leur ralliement. En août 1385, les trois communautés de Beauvezer, Colmars et Allos négocient ensemble des privilèges exorbitants[32] : outre une réduction substantielle des impôts déjà limités en 1233, et des remises sur les droits déjà dus, le domaine de la justice rendue par les consuls est étendu, et ceux-ci percevront les revenus générés par cette activité à la place du comte. Les communautés obtiennent le droit d’établir moulins et jardins sans autorisation et sans payer de cens[33], les pouvoirs de police du comte sont limités, une partie des lods et treizains sont abolis, les habitants des trois communautés sont exemptés de droits de passage pour leurs troupeaux transhumants et les marchandises qu’ils transportent. De plus, ils peuvent transporter du sel sans contrainte[34]. Enfin, les habitants peuvent construire des maisons en s’appuyant sur les murailles, percer celles-ci pour y établir des fenêtres ou des portes, aucune garnison ne sera installée sans l’accord des habitants et aux frais des comtes, les habitants ont le droit de construire des fossés d’irrigation qui traversent les chemins, et enfin Charles III renonce au droit de vendre la seigneurie sur les trois communautés. Dans le cas contraire, droit est concédé aux communautés de se défendre, les « armes à la main »[35].
En février 1391, c’est le parti angevin de Marie de Blois qui l’a emporté. Les trois communautés négocient une confirmation des privilèges accordés par Charles III. Mais Marie de Blois a gagné la guerre depuis quatre ans, et son fils Louis II est presque majeur : son pouvoir est désormais bien assuré, et elle revient sur certaines concessions abusives. Les droits de construction qui affaiblissaient les défenses des trois villages, et le droit excessif de dériver de l’eau à travers les chemins, ne figurent pas dans la charte de 1391[32]. Elle accorde cependant une nouvelle foire franche à Colmars, et de nouvelles réductions d’impôts[36]. L’ensemble des privilèges et exemptions accordés sont à nouveau confirmés en 1399 et 1439[36].
En 1478, le roi René, en tant que comte de Provence, donne sa seigneurie sur Beauvezer à Thomas Jarente, un de ses conseillers, malgré la charte de 1385. Quand il vient prendre possession de son nouveau bien, les habitants de Beauvezer refusent de lui ouvrir les portes, et résistent les armes à la main avec l’aide de leurs voisins de Colmars. À la suite de cette rébellion, le comte reconnaît sa méprise, confirme à nouveau les privilèges des communautés et annule les condamnations qui avaient frappé les rebelles[37].
Temps modernes
Les privilèges de la communauté sont confirmés en 1560 et 1574, les habitants craignant que, par ces temps troublés (on est en pleines guerres de religion), les archives se perdent et qu’ils ne puissent plus prouver leurs droits[38].
Progressivement, si la communauté conserve ses privilèges, ceux-ci perdent de leur importance : les péages se réduisent, le consulat est une institution dont toutes les communautés bénéficient, le droit s’uniformise et efface les particularités locales, la fiscalité évolue, ce qui explique que ces privilèges n’aient pas été défendus au moment de la Révolution[41].
Période contemporaine : de la Restauration à nos jours
Sous l’Empire, la commune est déjà dotée de petites industries textiles : en 1813, deux usines emploient 105 ouvriers[43]. Mais au XIXe siècle, la commune connaît un important essor industriel grâce au tissage de la laine. Jusqu’à six manufactures, où la fabrication est intégrée (du nettoyage de la laine à la teinture en passant par le filage et le tissage), sont construites, sur le modèle de la fabrique Honnorat à Saint-André-de-Méouilles[44] :
la première est ouverte par Auguste Trotabas en 1836 ;
il est rapidement suivi de Pierre Roux, en 1837[45] ;
entre 1837 et 1843, trois autres fabriques sont ouvertes par un Roux homonyme, Engelfred de Blieux et Giraux[46].
La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont une imposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’un cadastre est décidée. La loi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. En 1827, le cadastre dit napoléonien de Beauvezer est achevé[47].
Comme de nombreuses communes du département, Beauvezer se dote d’écoles bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant une instruction primaire aux garçons au village chef-lieu et au hameau de Villars-Heyssier[48]. Les filles sont aussi concernées à partir de la loi Falloux (1851) qui impose l’ouverture d’une école pour les filles dans les communes de plus de 800 habitants[49].
En 1856, il y cinq fabriques à Beauvezer employant 160 ouvriers[50] ; puis 6 fabriques pour 206 ouvriers en 1868. Mais les effectifs déclinent ensuite : 80 ouvriers en 1871, 102 dans quatre fabriques en 1875, 48 en 1878[51]. En 1914, les deux fabriques Trotabas, les seules à subsister, employaient 44 ouvriers (pour une population de 476 habitants en 1911)[52]. La grande fabrique Trotabas ferme en 1937, et la petite réussit à se maintenir jusque dans les années 1950 en se modernisant (nouvelles machines, électrification)[53].
Au , Beauvezer est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[64].
Elle est située hors unité urbaine[65] et hors attraction des villes[66],[67].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (92,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (92,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (56,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (25,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), prairies (2,1 %), zones urbanisées (2 %)[68].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Budget et fiscalité 2016
En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[69] :
total des produits de fonctionnement : 412 000 €, soit 1 151 € par habitant ;
total des charges de fonctionnement : 370 000 €, soit 1 034 € par habitant ;
total des ressources d’investissement : 99 000 €, soit 278 € par habitant ;
total des emplois d’investissement : 118 000 €, soit 330 € par habitant.
endettement : 389 000 €, soit 1 086 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
taxe d’habitation : 6,16 % ;
taxe foncière sur les propriétés bâties : 1,12 % ;
taxe foncière sur les propriétés non bâties : 17,59 % ;
taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 58,73 % ;
cotisation foncière des entreprises : 8,50 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 18 535 €[70].
Tribunal d'Instance et de Grande instance de Digne-les-Bains.
Cour d'Appel d'Aix-en-Provence.
Tribunal pour Enfants de Digne-les-Bains.
Tribunal de Commerce de Manosque.
Tribunal Administratif et Cour Administrative d'Appel de Marseille.
Conseil de Prud'hommes de Digne-les-Bains.
Politique environnementale
Une étude paysagère de cadrage des projets éoliens dans les Alpes de Haute-Provence a été réalisée en novembre 2006. Elle concerne également la commune[72]. Mais la multiplicité des projets dans des secteurs sensibles soulève de nombreuses interrogations au niveau du parc naturel régional du Verdon[73] notamment.
Jumelage
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En 2021, la commune de Beauvezer comptait 389 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2005, 2010, 2015, etc. pour Beauvezer). Les autres « recensements » sont des estimations.
L’histoire démographique de Beauvezer, après la saignée des XIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début du XIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période est relativement restreinte à Beauvezer, où elle dure de 1831 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune enregistre la perte de la moitié de sa population du maximum historique de 1856[80]. Le mouvement de recul se
jusqu’aux années 1970. Depuis, la population s’est remis à croître.
Histogramme de l'évolution démographique
Enseignement
Établissements les plus proches :
Écoles maternelle et primaire à Colmars les Alpes,
collège René-Cassin à Saint-André-les-Alpes et Annot,
Culte catholique, Paroisses du secteur Haut Verdon - Val d’Allos - Val d’Issole[82].
Sports
Activités sportives : Piscine municipale de mi-juin à fin août, Tennis, Terrain multi sport, Parc arbre aventure, Club d'escalade du Haut Verdon-Val d'Allos "Verticale Attitude"[83] :
Économie
Aperçu général
En 2009, la population active s’élevait à 147 personnes, dont 13 chômeurs[84] (24 fin 2011[85]). Ces travailleurs sont majoritairement salariés (72 %)[86] et travaillent majoritairement hors de la commune (un peu moins de 72 %)[86]. L’agriculture ne compte que 6 établissements[87], l’essentiel des emplois est fourni par le secteur tertiaire[87].
Agriculture
Fin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 6 établissements actifs au sens de l’Insee et aucun emploi salarié[87].
L’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture ne révèle pas le nombre et la nature des exploitations agricoles de la commune[88]. En 2000, il n’y avait plus que trois exploitations installées dans la commune, contre 8 en 1988[89]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a néanmoins augmenté, de 337 ha à 372 ha[89]. Selon la mairie, deux exploitations agricoles, dont un apiculteur, sont présentes sur la commune[90].
Industrie
Fin 2010, le secteur secondaire (industrie et construction) comptait neuf établissements, employant trois salariés[87], sept entreprises artisanales et deux cabinets d’architectes[90]. Le potentiel forestier de la commune est exploité, entre autres, par une scierie mobile[91].
Activités de service
La Maison de Produits de Pays de Beauvezer, qui a ses locaux dans un bâtiment public, est un commerce qui vend des produits locaux[92].
Fin 2010, le secteur tertiaire (commerces, services) comptait 28 établissements (avec 29 emplois salariés), auxquels s’ajoutent les huit établissements du secteur administratif (salariant 73 personnes)[87].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est très importante pour la commune, avec plus de 5 touristes accueillis par habitant[93], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non marchande[94]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune :
Ce sont néanmoins les 552 résidences secondaires qui pèsent le plus lourd dans la capacité d’accueil[104] soit trois logements sur quatre qui sont des résidences secondaires[105]. Parmi les résidences secondaires, 92 possèdent plus d'un logement et 63 sont des mobil-homes[98].
Commune assez étendue, Beauvezer a eu une succursale et plusieurs chapelles destinées à desservir les populations éloignées de la paroisse. Entre les deux églises, sur la place, se trouve une tour carrée subsistant probablement de l’enceinte fortifiée, qui sert de clocher[108] :
L'église paroissiale, de l’Assomption-de la-Sainte-Vierge, incendiée en 1728, reconstruite, puis à nouveau reconstruite en 1882, possède cinq travées. Les arcs sont en plein cintre. Une rosace surmonte l’entrée[109] et ornée d’un des 14 vitraux de l’église[110] ;
la chapelle Saint-Pierre (dans les gorges de Saint-Pierre) ;
la chapelle Notre-Dame-du-Plan à Villars-Heyssier[4] ;
la chapelle Saint-Jean de la Combe[4]. Le calice d’argent de la chapelle Saint-Jean de la Combe (en dépôt hors de la chapelle) date du XVIIIe, et est classé au titre objet[112]. ;
la chapelle Sainte-Croix est réputée être construite sur l’emplacement de l’église paro issiale d’avant l’incendie de 1728[4] ;
la chapelle Saint-Joseph ou des Pénitents, qui date de 1640 et vient d’être restaurée[4],[113]. Elle est dotée d’une tribune, le chevet est plat[113] et ornée d’un tableau de la Sainte-Famille, datant du début du XVIIe siècle[114]. Elle possède une croix de procession du XVIIIe siècle, classée[115].
Le Monument aux morts, place de la Mairie.
Plusieurs anciens ateliers textiles ont fait faillite au XIXe, et été transformés en hôtels, avant de fermer définitivement. L’une est transformée en bureaux de la communauté de communes[116].
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel du ministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région PACA]
↑ abcdefg et hDaniel Thiery, « Beauvezer », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 13 décembre 2010, mis à jour le 19 décembre 2010, consulté le 2 juillet 2012.
↑ZNIEFF Le grand et le petit Coyer; lacs de Lignin; Gorges de Saint-Pierre; Forêt de L'Orgéas; Bois des Frousts; Montagne de Mouriès; La Cougnasse
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ a et bMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 2 juillet 2012.
↑ a et bPréfecture des Alpes-de-Haute-Provence, DDRM, op. cit., p. 95.
↑Raymond Boyer et Guy Barruol, carte 12 « Peuples et habitats de l’époque pré-romaine », in Baratier, Duby & Hildesheimer, Atlas historique de la Provence, et commentaire
↑Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22.
↑Mireille Mistral, L’Industrie drapière dans la Vallée du Verdon, thèse de doctorat d’État en Sciences économiques, Académie d’Aix-en-Provence, Nice, 1951, 231 p., p. 83.
↑Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, (no)307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
↑Mireille Mistral, L’industrie Drapière dans la Vallée du Verdon, thèse de doctorat d’État en Sciences économiques, Académie d’Aix-en-Provence, Nice, 1951, 231 p., p. 119.
↑Alexeï Laurent, « Paysages ruraux de la première moitié du XIXe siècle dans le sud-est des Basses-Alpes », in Jean-Christophe Labadie (directeur éditorial), La matière et le bâti en Haute-Provence, XVIIIe – XXIe siècle, actes de la première Journée d'études d'histoire de la Haute-Provence, Digne, 13 octobre 2012. Digne-les-Bains : Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013. (ISBN978-2-86004-016-7), p. 10.
↑Jean-Christophe Labadie (directeur), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, 2013, (ISBN978-2-86-004-015-0), p. 9.
↑Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio).