En 1992, il devient président de l’institut orientaliste de l’UCL.
En 1998, il est président du corps académique de Louvain.
Il est doyen de la faculté de philosophie et lettres entre 2003 et 2004[2] et recteur de l’UCL entre 2004[3] et 2009[4] ; il se retire pour raisons personnelles alors que sa gestion de l'université était diversement appréciée[évasif][5]. En 2014, il se porte à nouveau candidat au poste de recteur[6],[7].
↑Jean Darrouzès, « Bernard Coulie, Les richesses dans l'œuvre de saint Grégoire de Nazianze. Étude littéraire et historique », Revue des études byzantines, vol. 45, no 1, , p. 248–248 (lire en ligne, consulté le )