John Grant redéfinit cette rencontre surréaliste entre animation et musique mais ne mentionne pas les précédents du studio[9]. Il rappelle la présence de Salvador Dalí collaborant alors sur le projet Destino[10]. Jerry Beck considère Bumble Boogie comme dépassant la séquence des éléphants roses de Dumbo (1941), qu'il ajoute à la liste de séquence surréaliste[11]. Pour Grant, le personnage principal est une abeille, et non une mouche, et elle est soit paranoïaque soit le monde qui l'entoure lui en veut réellement[9]. Grant perçoit dans la globalité du film du génie avec des moments forts comme le surréalisme de Bumble Boogie ou les effets spéciaux de C'est la faute à la Samba[12].
Dave Smith précise que Jack Fina joue au piano[3]. Les segments À la gloire d'un arbre et Bumble Boogie ont été édités ensemble sous le titre Contrasts in Rhythm le [13].