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Les recherches menées au C2N portent sur la nano-électroniquesilicium et III-V (micro-nano-électronique à base de semiconducteurs), le nanomagnétisme (micro-nano-magnétisme, électronique de spin), la micro-nanophotonique (optoélectroniquesilicium et semiconducteurs III-V), les micro-nanosystèmes et systèmes à dominante « matériel » (fabrication, caractérisation, etc.) et, à dominante « logiciel » (systèmes autonomes, systèmes en réseau).
Le C2N est le seul laboratoire en Île-de-France porteur d'une des six grandes centrales du Réseau national de Recherche en Technologie de Base (RTB). Le C2N est partenaire ou coordinateur de divers projets d'envergure régionale (Digiteo, Triangle de la Physique, C'Nano Île-de-France, Pôle de compétitivité SYSTEM@TIC, etc.), nationale (ANR, etc.) et internationale (nombreux contrats européens).
Le C2N a un partenariat important avec les grandes entreprises (Thales, Nokia France, STMicroelectronics, etc.) et les PME (Fogale-Nanotech, Jobin-Yvon, etc.) dans les domaines de l'électronique, des télécommunications et des transports.
Personnel
Le personnel du C2N se compose de plus de 120 chercheurs et enseignants-chercheurs, 80 ingénieurs, techniciens et administratifs, 130 doctorants[2].
Évolution
Le , l'IEF (Institut d'électronique fondamentale)[3] et le LPN (Laboratoire de photonique et de nanostructures) fusionnent et deviennent le C2N - Centre de nanosciences et de nanotechnologies. L'ensemble des équipements des deux laboratoires sont transférés dans de nouveaux bâtiments sur le campus de Paris-Saclay[4] à Palaiseau.