Rappelé à Paris par le général Cavaignac, il revint en 1849 en Algérie où il fut pendant cinq ans chef d’état-major du général Pélissier dans la province d’Oran. Colonel en 1850, général de brigade le , il dirigea plusieurs expéditions contre le Maroc et commanda les subdivisions de Mostaganem et de Tlemcen. Il réprima les tribus Aït-Iznassen.
Rentré en France en 1858, il commanda le département de l’Yonne et devint en 1859 chef d’état-major du 5e corps d’armée. En , il fut chargé de la délimitation de la nouvelle frontière savoisienne, il fut promu général de division le .
Membre du Comité d'état-major. Il reprendra du service en 1870 comme chef de l'état major de l'armée de Paris. Un temps adjoint à Jules Favre pour les pourparlers de paix avec la Prusse, il en fut évincé par celui-ci, pour avoir demandé des cartes françaises d'état-major au lieu des cartes prussiennes d'état-major ce que Bismarck prit pour une insulte.