Le Collège a été institué le et nommé en l'honneur de l'historien québécois, le chanoine Lionel Groulx, ancien étudiant du Séminaire de Sainte-Thérèse[1]. Sa fondation est issue de l'École de commerce de Sainte-Rose, de l'École normale de Saint-Jérôme et du Séminaire de Sainte-Thérèse. Les trois premiers programmes à être autorisés sont l'informatique, les techniques administratives et les techniques de la documentation. En 1969, le Collège acquiert tous les biens mobiliers et immobiliers du Séminaire de Sainte-Thérèse.
L'installation principale du Collège occupe un terrain de 1,8 million de pieds carrés. Le Collège possède aussi un centre sportif, un complexe immobilier composé de résidences traditionnelles et d’appartements permettant d’accueillir 280 élèves, un pavillon d'ordinique, ainsi qu’un centre collégial de transfert de technologie (centre d’innovation en microélectronique du Québec), une aile théâtre, une aile musique, une aile des sciences, une salle de spectacle, un centre de formation en agriculture et des serres en horticulture à Mirabel.
Histoire
Le est déclenché pour la première fois une grève dans un cégep. Cet évènement agira comme fer de lance des mobilisations étudiantes d'.
Directeurs généraux
Charles Valois (1967-1973)
Pierre Desgroseilliers (1973-1978)
Nicole Brodeur (1978-1981)
Jean Ladouceur (1981-1984)
André Turcotte (1985-1991)
Marie-Hélène Desrosiers (1991-1995)
Francine Sénécal (1995-2002)
Monique Laurin (2002-2013)
Michel-Louis Beauchamp (2013-2023)
Philippe Nasr (2023- )
Enseignants connus
André G. Bourassa, écrivain, enseignant et un des premiers directeurs du Collège
L'association générale des étudiantes et étudiants du Collège Lionel-Groulx (AGEECLG) est l'association étudiante de la communauté étudiante du Collège Lionel-Groulx. Cette association est membre de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSÉ).
Équipes sportives
Les équipes sportives du collège ont pour nom « Les Nordiques ».
Notes et références
↑« Les 25 ans du cégep Lionel-Groulx : Un peu d'histoire », La Presse, , p. 2 (lire en ligne).