La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé pour la mandature 2014-2020 de 33 conseillers municipaux représentant chacune des 8 communes membres.
La mandature 2008-2014 est marquée par d'importantes tensions entre élus[5].
L'intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions définies par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit de[11] :
Aménagement de l’espace et urbanisme ;
Développement Economique ;
Gestion des aires des Gens du Voyage ;
Collecte et traitement des déchets ;
Protection de l’environnement et Développement durable ;
Logement, habitat et cadre de vie ;
Création, aménagement et entretien de la voirie ;
Solidarité et Action Sociale ;
Animation et Action culturelle ;
Tourisme.
La Communauté de Communes du Seignanx n'exerce pas elle-même la compétence « transport ». Les communes de Tarnos, Ondres et Saint-Martin-de-Seignanx ont chacune adhéré au Syndicat des Mobilités Pays Basque-Adour et sont donc desservies par le réseau Txik-Txak. Les autres communes sont seulement desservies par les lignes départementales de la Régie des Transports Landais[12],[13].
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
↑Les densités de population sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la surface géométrique de la commune, avec un niveau de précision du contour de 5 m tel qu'il ressort de l'export du découpage administratif au niveau communal (contours des communes) issu d'OpenStreetMap, et non la superficie cadastrale définie par l'Insee, qui est une donnée purement administrative. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
↑Emma Saint-Genez ., « Les élus de la communauté de communes du Seignanx ne s’entendent plus : Tarnos et Saint-Martin-de-Seignanx remettent en cause la gouvernance de la majorité socialiste », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
↑ a et bBenjamin ferret ., « Le Seignanx choisit Eric Guilloteau », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )« Candidat déclaré à la succession de Jean-Marc Larre depuis la fin d’année dernière et porteur d’un programme intercommunal coécrit avec d’autres élus de l’assemblée, le socialiste a réuni 21 des 33 votes des conseillers communautaires amenés à s’exprimer. Une victoire lourde de sens, avec l’empreinte du PS accolée à l’intercommunalité du Seignanx pour les six années à venir et, en creux, le refus de voir le communiste Jean-Marc Lespade prendre la tête de cette même collectivité ».
↑Christine Lamaison., « Seignanx : quatorze élections plus tard… », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )« C’est Francis Geraudie, premier adjoint à Saint-Martin-de-Seignanx, qui devient troisième vice-président (sur 23 votants, 17 voix pour quatre blancs et deux nuls). Mike Bresson, adjoint saint-martinois, remplacera Lionel Causse au Sitcom (élu avec 19 voix, deux blancs et deux nuls) ».
↑C. P.., « Jean-Marc Larre se consacre à la mairie », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )« Jean-Marc Larre n’a pas cherché à entretenir le suspense et a déclaré dès le début de son discours : « (...) Sachez également que je ne renouvellerai pas ma candidature à la présidence de la Communauté de communes pour deux raisons essentielles : la première étant que je suis persuadé qu’il est important, pour ce genre de fonction, qu’il y ait une alternance et la seconde est que je désire, si bien sûr vous le souhaitez, me consacrer au mandat de maire, qui je pense sans nul doute, être le plus beau et le plus épanouissant des mandats ».
↑« Compétences », La collectivité, sur cc-seignanx.fr (consulté le ).