La complexité implicite caractérise les classes de complexité par des restrictions syntaxiques sur le langage de programmation de haut niveau, souvent fonctionnel, logique ou par réécriture. Le programme qui résout un problème de la classe est donc écrit sans référence à une machine de bas niveau, alors que la théorie de la complexité classique se réfère à une machine de Turing.
L'atelier DICE (Developments in Implicit Complexity)[7] est consacré à ce thème.
Notes et références
↑Hilbert, David, « Logic-Kalkül », Reprinted and translated in '
David Hilbert's Lectures on the Foundations of Arithmetic and Logic', (DOI10.1007/978-3-540-69444-1_2)
↑(hu) Rosza Péter, Recursive Functionen, Budapest, Akademiai Kiado,
↑(en) D. Hofbauer, « Termination proofs with multiset path orderings imply primitive recursive derivation lengths », Theoretical Computer Science, , p. 129-140
↑(en) Stephen J. Bellantoni et Stephen Cook, « A new recursion-theoretic characterization of the polytime functions », computational complexity, , p. 97–110 (ISSN1016-3328, lire en ligne)
↑(en) Isabel Oitavem, « The polynomial hierarchy of functions and its levels », Theoretical Computer Science, , p. 25-34 (DOI10.1016/j.tcs.2021.11.016)
↑(en) Ugo Dal Lago, Reinhard Kahle et Isabel Oitavem, « Implicit recursion-theoretic characterizations of counting classes », Arch. Math. Log. 61(7-8), , p. 1129-1144
↑(en) Ugo Dal Lago, « Developments in Implicit Complexity (DICE 2012) », Theoretical Computer Science, (lire en ligne)