De 2009 à 2013, elle a été membre du Conseil d’administration du Conseil des arts et des lettres du Québec[11], où elle a présidé le Comité de gouvernance et d’éthique. Depuis 2013, elle est membre du Conseil d’administration de Télé-Québec[12].
L'approche phénoménologique en communication appliquée aux pratiques professionnelles des journalistes: étude de cas : le documentaire de Michel Régnier, Elles s'appellent toutes Sarajevo, Université du Québec à Montréal, .
Un été aux couleurs d'Afrique, Dominique et compagnie, .
Analyse et interprétations du génocide rwandais: nouveau fondement identitaire pour des rescapés du génocide dans la diaspora rwandaise de Montréal, Université du Québec à Montréal, .
La dérive sanglante du Rwanda, Ecosociété, .
Le journalisme radiophonique, Presses de l'Université de Montréal, .
Les brutes et la punaise : les radios-poubelles, la liberté d’expression et le commerce des injures, Lux Éditeur, 2019.
Blanche Beaulieu, « Payette, Dominique : la dérive sanglante du Rwanda », Nuit Blanche (revue littéraire québécoise), no 96, , p. 41 (lire en ligne).
Louis Cornellier, « Analyse - Le Rwanda de Dominique Payette », Le Devoir, (lire en ligne).
Stéphane Baillargeon, « Médias - Dominique Payette au chevet de l'information », Le Devoir, (lire en ligne).
Stéphane Baillargeon, « Le rapport Payette sur l'avenir de l'information suscite de nombreuses réactions favorables », Le Devoir, (lire en ligne).
Jean-Marc Salvet, « Dominique Payette candidate du PQ dans Charlesbourg », Le Soleil, (lire en ligne).
Diane Tremblay, « La candidate dans Charlesbourg pour le Parti québécois, Dominique Payette, donne un coup de pouce à ses bénévoles », Le Journal de Montréal, (lire en ligne).
Isabelle Porter, « Payette ravie de l’arrivée du magnat de la presse », Le Devoir, (lire en ligne).
Sandrine Ricci, Avant de tuer les femmes, vous devez les violer !: Rwanda : rapports de sexe et génocide des Tutsi, Éditions Syllepse, (lire en ligne).