L’usage de la couleur est au centre du travail de Dorothée Louise Recker[4]. Dans ses premiers travaux à la peinture à l’huile, elle s’intéresse au motif du dégradé[5]. Elle poursuit cette recherche en réalisant des œuvres où elle mêle du mortier de sable à de la peinture à l’huile. Ce mélange lui permet de travailler la couleur différemment et d’explorer la problématique du rapport entre le visible et le tactile en exploitant les imperfections de cette matière[6]. Son œuvre est marquée par son enfance dans le sud de la France, une influence visible à travers le motif récurrent du palmier[7].
Dorothée Louise Recker jouit d’une notoriété internationale grandissante et a notamment exposé à Paris, Marseille, Berlin, Bruxelles et Leipzig[8]. En 2010 elle remporte le prix Marin du Salon de mai, qui se tient tous les ans à Paris[2].
« Garder le cap », galerie Valérie Delaunay, Paris.
2018 :
« That same far place », commissariat Noelia Portela, Persona Curada, ChezKit, Pantin.
« Fresques Permanentes. Royal Hamilius », Luxembourg, architecte : Norman Foster, mécénat : Codic International, Royal Hamilius Parking et APCOA Parking, conception, commissariat et ingénierie culturelle : Melpomène Society Luxembourg.
« Sunday Sunset », commissariat Élodie Bernard, La Peau de l’Ours, galerie Rivoli, Bruxelles.
« Green is the coolest color », commissariat Luiza Vanelli Schmidt, Artmate, Le Houloc, Aubervilliers.
« Action ! La nouvelle école française », Bastille Design Center, Paris.
2019 : « Tout doit disparaître », galerie Provost Hacker, Lille.