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FireEye

FireEye
logo de FireEye

Création 2004
Fondateurs Ashar Aziz (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Forme juridique Société du Delaware (en)[1]Voir et modifier les données sur Wikidata
Action NASDAQ (FEYE)[2],[3]Voir et modifier les données sur Wikidata
Siège social Milpitas
Drapeau des États-Unis États-Unis
Direction David DeWalt (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Activité Sécurité informatique
Société mère Symphony Technology Group (en) (depuis )[4]Voir et modifier les données sur Wikidata
Filiales Mandiant (en)Voir et modifier les données sur Wikidata
Effectif 2700
Site web www.fireeye.comVoir et modifier les données sur Wikidata

Capitalisation 5 milliards de dollars (08/01/2013)
Chiffre d'affaires 510 millions de dollars (2013)
Résultat net en diminution -35,8 millions de dollars

FireEye est une entreprise de sécurité informatique américaine. Son siège social est situé à Milpitas en Californie aux États-Unis.

Histoire

Elle a été fondée en 2004. Début , FireEye rachète Mandiant (en) en versant environ 1 milliard de dollars en grande partie en échanges d'actions[5]. Mandiant sera rachetée par Google en 2022.

La société est célèbre pour son EDR[Quoi ?] et autres solutions[évasif] de sécurité largement répandu à travers le monde.[style trop lyrique ou dithyrambique]

Le , FireEye annonce avoir été compromise par des attaquants de niveau étatique[6],[7]. Cette attaque aurait conduit à l'exfiltration des outils cyber-offensifs de l'entreprise, destinés à tester la sécurité de leurs clients (Red Team) et pourrait constituer, selon le New York Times, une des fuites d'outils offensifs les plus importants depuis celui des Shadow Brokers publiant les outils de la NSA en 2016. Quelques semaines plus tard, il sera révélé que ces outils OffSec[C'est-à-dire ?] n'étaient en fait que des outils d'audit open source légèrement personnalisés, principalement PowerShell, ce qui réduit considérablement la portée de cette fuite.

L'étude de cette attaque par FireEye lui permet, quelques jours plus tard, de mettre au jour une bien plus large attaque, via la compromission du logiciel Orion de SolarWinds, visant 18 000 entreprises à travers le monde, dont de nombreux célèbres éditeurs de sécurité informatique et administrations fédérales américaines[8], mais, officiellement, aucune en France d'après l'ANSSI.

Références

Kembali kehalaman sebelumnya