Son élection comme président est invalidée : « la raison principale de l'invalidation est la présence de bulletins pré-imprimés au nom de Frantz Gumbs lors de l’élection »[1]. Le Conseil d'État confirme que les procédures de vote n'ont pas été respectées[2]. Une nouvelle élection, respectant cette fois les formes, est organisée le [3] et Frantz Gumbs est réélu président du conseil exécutif.