Son nom provient du fait que le premier explorateur européen à avoir navigué sur ces eaux était le Français Jules Dumont d'Urville en . Lors de ce passage, la frégate l'Astrolabe heurta à deux reprises les récifs, faisant dire à Dumont d'Urville dans son journal : « pour consacrer le souvenir du passage de l'Astrolabe, je laissai à ce dangereux détroit le nom de Passe des Français : mais à moins d'un cas urgent, je ne conseillerais à personne de le tenter »[1].
Hydrographie
Le French Pass possède les courants marins les plus rapides de Nouvelle-Zélande. Ceux-ci peuvent atteindre la vitesse de 8 nœuds (4 m/s)[2].
Notes et références
↑Jules Dumont d'Urville, Voyage de la corvette l'Astrolable, exécuté par Ordre du Roi, pendant les années 1826-1827-1828-1829, sous le commandement de M. J. Dumont d'Urville, capitaine de Vaisseau, Histoire du Voyage, Tome deuxième, Paris, J. Tatsu, , 650 p. (lire en ligne)