Le Front de Libération nationale français est l'appellation utilisée pour revendiquer plusieurs attentats contre le Club Méditerranée à la fin des années 1970.
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: trois bombes explosent tôt le matin au siège du Club Méditerranée à Paris. Le gardien est blessé. Le texte de revendication dit : « Nos attaques successives contre le Club Méditerranée ne sont qu'un acte de résistance à l'occupation juive. De 350 000 en 1939, ils sont maintenant, après les « camps de la mort », un million[1],[2]. »