Françoise de Perthuis restitue que c'est après la guerre que Geza Szobel « revient aux grands rythmes géométriques et expose à Paris et dans plusieurs capitales étrangères. Sa dernière période est très dépouillée, évoluant vers une abstraction un peu nuageuse en camaïeu blanc, gris et noir »[3]
Œuvres
Livres illustrés
Geza Szobel, La sueur froide, suite de dix-neuf eaux-fortes originales, Éditions Sans, 1940.
Anges pleurant la Tchécoslocaquie crucifiée sur une svastika, médaille de bronze en mémoire des soldats du 2e bataillon tchécoslovaque morts dans la bataille de France en 1940. Éditée à Birmingham, 1941[5].
Expositions
Expositions personnelles
Czechoslovak Institute, Londres, Geza Szobel, dessins témoignages de la guerre, .
Salon des Surindépendants, Paris, de 1934 à 1939[7].
Salon de Mai, Paris, plusieurs participations entre 1945 et 1962[2].
Exposition organisée à l'occasion des États généraux du désarmement, Cercle Volney, Paris, mai 1963.
Réception critique
« On commence à comprendre la singularité profonde de cet artiste qui s'est fixé à Paris à 30 ans et a adopté la nationalité française. Dans ses peintures et plus encore dans ses aquarelles transparentes, il oscille perpétuellement entre figuration et abstraction. Il plonge les formes dans un halo poétique sous lequel transparaît toujours l'ordonnance de la composition. » - Gérald Schurr[8]