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Gel du conflit
En , le Pasteur Ntumi signe un accord avec le gouvernement : il devient vice-ministre, en échange de quoi les 5 000 combattants de sa milice seront désarmés[2].
Le , le gouvernement congolais accuse la milice Ninja d'avoir attaqué les forces de sécurité. La milice nie les accusations, les qualifiant de prétexte pour la répression politique. La violence se poursuit avec des bombardements des forces armées congolaises et des attaques de la milice Ninja contre le chemin de fer Congo-Océan[5],[6].
Le , 18 soldats congolais sont tués par des miliciens Ninja[7].
Le , le gouvernement congolais et la milice Ninja signent un accord de cessez-le-feu. Conformément aux termes de l'accord, les ninjas doivent rendre leurs armes et cesser leur interférence dans les échanges commerciaux entre les villes de Brazzaville et de Pointe-Noire[8].
Au total, ce nouvel épisode du conflit a causé la mort de 115 personnes[9],[7] et le déplacement forcé de 13 000 personnes[10].