Issue d'une famille de la petite classe moyennerouennaise (son père est comptable chez GDF et sa mère employée des PTT), il commence à travailler dès l'âge de 16 ans[1].
Spécialisé dans les domaines de l'urbanisme, de l'habitat et de la politique de l'eau, Guy Malandain est rapporteur d'un certain nombre de textes, notamment la loi du sur les droits et les obligations des locataires et des bailleurs, celle du sur les rapports locatifs, tout comme la loi d'orientation pour la ville (LOV) du .
En 1995, il est élu au conseil municipal de Trappes et devient adjoint au maire communiste. En 2001, il est tête de liste du Parti socialiste lors des élections municipales. La ville est un fief communiste depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
S'affirmant fermement laïc, Guy Malandain, souhaitant que toutes les religions disposent de lieux de culte, est favorable à la construction d'une « très grande mosquée » à Trappes[3].
Guy Malandain est réélu en 2008, sa liste obtenant dès le premier tour 54,7 % des voix, et de nouveau en 2014, où la liste qu'il conduit totalise 50,96 % des voix[4].
Lors des élections municipales de 2020, la liste qu'il conduit termine à la troisième place loin derrière celle d'Ali Rabeh, son ancien adjoint, qui l'emporte au second tour avec plus de 40 % des voix[5].
↑Romain Choron, « Les appelés de la guerre d’Algérie (1954-1962) dans les fonds de la division des témoignages oraux (DTO) du service historique de la Défense (SHD) », Bulletin de l’AFAS, no 43, (ISSN1246-7529 et 2109-9537, DOI10.4000/afas.3036, lire en ligne, consulté le )