Un responsable de la CÉDÉAO a affirmé qu'environ 7 000 hommes au total seraient mobilisés par les cinq pays engagés. Elles ont avancé sans rencontrer de résistance de la part de l’armée ni de la police gambiennes.
Des avions de combat nigérians ont mené dans la journée des missions de reconnaissance au-dessus du pays. Le Nigeria a aussi déployé son navire de guerre le plus récent dénommé NNS Unity en prélude à une éventuelle intervention militaire en Gambie[8].
Dans la nuit du 19 au , l'avancée est suspendue jusqu'à midi heure locale pour une dernière médiation[9].
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À la suite du départ de Yahya Jammeh, les troupes de la CEDEAO et notamment les éléments de l'armée sénégalaise, prennent position en Gambie et principalement dans la capitale Banjul pour « contrôler des points stratégiques en vue de sécuriser les populations et faciliter la prise de fonction du président élu Adama Barrow », dixit le général François Ndiaye, commandant de la Micega[10],[11].
Le , à l'occasion du 51e sommet de la CEDEAO, il est annoncé que le mandat de la MICEGA (Mission de la CEDEAO en Gambie) serait prolongé d'un an[12].
↑Le Monde avec AFP, « Gambie : après avoir reconnu sa défaite, le dictateur Jammeh conteste les résultats », Le Monde, (ISSN1950-6244, lire en ligne, consulté le )
↑Benjamin Roger, « Gambie : les troupes sénégalaises de la Cedeao acclamées à leur entrée dans Banjul - JeuneAfrique.com », JeuneAfrique.com, (lire en ligne, consulté le )