De 1998 à 2000, il est le conseiller juridique du comptoir de diamants Kasaï wa Balengele. À partir de 2000, il devient avocat aux barreaux de Kinshasa-Gombe ainsi que de Mbuji-Mayi[2],[3].
Carrière politique
José Mpanda Kabangu fait ses premiers pas en politique en 2007, lorsqu'il intègre le cabinet d'Alphonse Ngoy Kasanji, gouverneur du Kasaï-Oriental, en tant que conseiller. Il est alors chargé des relations avec l’assemblée et le gouvernement de cette province[2],[3].
Lors des élections législatives de 2011, il est élu député national de Mbuji-Mayi sous les couleurs de l'Alliance chrétienne pour la démocratie et le développement (ACDD), parti politique d'Alphonse Ngoy Kasanji. Il intègre la commission « politique, administrative et juridique » (PAJ) de l'Assemblée, y devenant le rapporteur adjoint[3].
En 2017, il quitte l'ACDD et créé « Congo Espoir », son propre parti politique. Ce dernier rallie rapidement l'Alliance des démocrates pour le renouveau et le progrès (ADRP) afin d'obtenir le seuil minimal imposé par la loi pour participer à des élections. Réélu député national lors des élections législatives de 2018, il devient président du groupe parlementaire ADRP-G18, son parti ayant récolté le plus grand nombre de sièges parmi ceux membres de l'ADRP[2],[3]. L'ADRP rejoint également à cette occasion le Front commun pour le Congo (FCC), plateforme de soutien au président Joseph Kabila[4].