Exilé en Nouvelle-Zélande à partir de 1858, il devient l'assistant de Ferdinand von Hochstetter pour ses recherches en géologie et, lui-même, étudie la géologie des districts de Nelson et de Canterbury.
Un des fondateurs du Canterbury Museum à Christchurch dont il deviendra le directeur, il est arpenteur-général de Canterbury de 1861 à 1871 et y enseigne la géologie.
De nombreux lieux de la Nouvelle-Zélande portent son nom : le fleuve Haast, la ville de Haast...
Bibliographie
Ludwig Gebhardt: Zur Geschichte der naturwissenschaftlichen Erkundung Neuseelands, (Der Anteil mitteleuropäischer Forscher im 19. Jahrhundert), in: Bonner Zoologische Beiträge,[2] Band 20, Heft 1, 2, 3, 1969, S. 219–227, enthält u. a. Darstellungen zu Ernst Dieffenbach, Ferdinand von Hochstetter und Julius von Haast.
Sascha Nolden: The life and legacy of Sir Julius von Haast: exploring archival documentary heritage collections. In: Records of the Canterbury Museum, Christchurch/Neuseeland 2016, Vol. 30, S. 67–82 (PDF).
Mark Edward Caudel: Julius Haast. Towards a New Appreciation of His Life and Work. University of Canterbury 2007
Notes et références
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↑Alexandre Tarrieu, Dictionnaire des personnes citées par Jules Verne, vol. 2 : F-M, éditions Paganel, 2021, p. 99