Il participe aux Congrès des Orientalistes à Paris (1873), Londres (1874), Leyde (1883), Vienne (1886), Stockholm (1889) et Genève (1894)[1]. Il devient également membre du conseil de la Société académique indo-chinoise, et publie, outre des livres, des articles dans de très nombreuses revues. Spécialiste du sanscrit, connaissant aussi le tibétain, le mongol et le pâli, il traduit de nombreux textes anciens (notamment le Kanjur tibétain)[3].
Bibliographie
Classement des œuvres par ordre chronologique :
Les Ruines de Ninive, ou Description des palais détruits des bords du Tigre, 1864.
Introduction du buddhisme dans le Kashmir, 1866.
Le Birman et les Birmans, séjour d’un médecin européen à la cour de Mandalay, 1866.
La Puissance et la civilisation mongoles au treizième siècle, 1867.
République et royauté, de la nécessité d'établir le gouvernement de la France sur la base républicaine, 1871.
Études bouddhiques. Le Livre des cent légendes, 1881.
Analyse du Kandjour et du Tandjour (Annales du Musée Guimet, tome 5), 1883.
Contes indiens — Les Trente-deux récits du trône 1883.
Tîrthikas et bouddhistes, polémique entre Nigantha et Gautama, 1884.
Le Mariage par achat dans l'Inde âryenne, 1885.
Adaptation au sanskrit de l'alphabet de transcription usité pour le pâli, 1885.
Le Tibet : le pays, le peuple, la religion, 1886.
Étymologie, histoire, orthographe du mot Tibet, 1889.
Avadâna-Çataka (Annales du Musée Guimet, tome XVIII, 1891)
L'Enfer indien, 1892.
Le Prince Sou-ta-na des Mémoires de Hiouen-Thsang, 1895.
Le Bodhisattva et la famille de tigres, 1899.
Référence
↑ a et bComité d'écrivains sous la direction de Henry Carnoy, Dictionnaire biographique international des écrivains, Paris, Imprimerie de l'Armorial français, 1909, (lire en ligne), p. 31 Feer (Henri-Léon)