Des grèves secouent l'Italie. Le mari de la Califfa est tué et elle devient la Pasionaria des grévistes. Elle s'oppose au patron de l'usine, Doberdò, lui-même ancien ouvrier. L'opposition se transforme en amour, et le conflit s'éteint par concessions réciproques. Doberdò est abattu.
La musique du film, signée Ennio Morricone, figure parmi les grands succès internationaux du compositeur italien. Le thème de La Califfa a été notamment interprété par Yo-Yo Ma.
Voir aussi
Bibliographie
Frauke Hanck, Pit Schröder, « La Califfa », Romy Schneider und ihre Filme, Goldmann Verlag, Munich, 1980, 221 p., p. 156-157, (ISBN3-442-10206-5).
Renate Seydel, « La Califfa », Romy Schneider. Ein Lebern in Bildern, Henschel Verlag, Allemagne, 2007, 344 p., p. 192-193, (ISBN3-89487-264-0)
« La Califfa », L'Avant-Scène du Cinéma no 347, Editions L'Avant-scène, Paris, , p. 188, (ISSN0045-1150)