Durant l'été 1997, Claudine, couturière, prend chaque mardi un train pour rejoindre un hôtel dans la montagne, près du barrage de la Grande-Dixence, dans le canton du Valais, en Suisse. Elle y rencontre des touristes de passage pour des relations sexuelles sans lendemain. Le reste du temps, elle s'occupe seule de son fils Baptiste, handicapé. Elle utilise les descriptions que ses amants éphémères lui font de leurs villes d'origine dans des lettres qu'elle envoie à son fils, en les signant du nom du père de ce dernier, qui les a quittés.
Jusqu'au jour où elle rencontre Michael, un ingénieur allemand qui prolonge son séjour en Valais et va lui faire envisager un changement radical de sa vie.
Sur Allociné, le film obtient une note moyenne de 3,2/5, basée sur 16 critiques de presse[1]. La plupart des critiques louent l'interprétation de Jeanne Balibar. Dans Le Temps, Norbert Creutz dit que le film repose essentiellement sur sa «présence fascinante»[2].