Lannéanou se trouve à l'extrémité est-nord-est des monts d'Arrée et des Rochers du Cragou. La commune est de superficie modeste (16 km²), son finage s'étirant dans le sens sud-nord du marais de Ménez Vergam, vers 180 mètres d'altitude, au sud, s'élevant rapidement jusqu'aux hauteurs principales proches du bourg (280 mètres) ou plus à l'est (245 mètres près de Kerforniou), les quatre-cinquièmes nord du territoire communal formant un plan incliné à très faible pente dont l'altitude décroît assez régulièrement vers le nord jusque vers 150 mètres.
Le bourg de Lannéanou est très excentré au sud-sud-ouest de son finage communal ; la butte du Télégraphe, proche du bourg, qui culmine à 300 mètres et porte ce nom car ce fut un des relais du télégraphe Chappe reliant Paris à Brest, est sur le territoire de la commune de Plougonven.
Une gare du Réseau breton, à voie métrique, sur la ligne Morlaix-Carhaix, était dénommée "Cloître-Lannéanou" : située à 6 km à l'ouest de Lannéanou, dans la vallée du Jarlot, à la limite des territoires communaux de Plougonven et du Cloître-Saint-Thégonnec, près du hameau de Kermeur, elle n'eût qu'un intérêt limité pour les habitants de Lannéanou pendant ses quelques décennies d'existence entre 1891 et 1967.
« En pleine lande, au fond d'une large cuvette, la gare du Cloître-Lannéannou est isolée, fort loin des deux villages dont elle porte les noms. Site sinistre par les temps gris ; la lande s'étend à l'infini, revêt les pentes, entoure des hameaux misérables. Vers le sud une ride porte Bouillard, Kergreis, Kermeur, Kerléoret, qui sont parmi les plus tristes séjours de l'Armorique. Ils contemplent, vers l'intérieur du pays, un paysage étrange et morne : des marais où l'on récolte de la tourbe, des pentes couvertes de landes s'élevant jusqu'à une arête rocheuse. (...) Les rochers du Cragou constituent la partie la plus curieuse des Monts d'Arrée (...) Vus du fond de la vallée du Squiriou, vus surtout des abords des beaux bois de Lestrezec, ils sont merveilleux de forme et de teinte, se détachant violacés et tourmentés sur le fond délicat du ciel d'un bleu gris, infiniment doux[1]. »
Relief
La superficie de la commune est de 1 617 hectares ; son altitude varie de 119 à 285mètres[2].
La fin de l'histoire varisque se caractérise par le fonctionnement d'un grand accident crustal, le cisaillement nord-armoricain (CNA) qui guide la mise en place de granites. La partie septentrionale du territoire communal se situe sur une formation de type granite monzonitique à biotite à grain grossier, qui fait la jonction entre le massif granitique de Commana-Plounéour (appelé aussi granite des monts d'Arrée) et celui de Plouaret[4]. Le CSA décale d'une vingtaine de kilomètres le massif de Commana de celui de Plouaret[5]. Ces massifs font partie d'un ensemble plus vaste, le batholite médio-armoricain[Note 2]. Le sous-sol de la commune est ainsi formé de roches d'ère primaire, sauf dans les fonds de vallée recouverts d'alluvions. Des bancs de schistes et de quartzites, affectés d'un pendage important (60°) alternent dans la partie méridionale du territoire communal qui correspond aux monts d'Arrée. Ces roches sont les témoins d'une pénéplanation très ancienne à l'ère primaire suivie d'un resoulèvement à l'ère secondaire, contre-coup des plissements pyrénéen et alpin[6].
Hydrographie
Lannéanou est un véritable château d'eau naturel, plusieurs cours d'eau y prennent leur source et c'est aussi une ligne de partage des eaux entre plusieurs bassins versants : le Roudouhir, juste au sud du bourg, coule vers le sud, sert de limite communale avec Plougonven, et qui est un affluent du Squiriou, lui-même tributaire de l'Aulne qui se jette dans la rade de Brest ; le Douron, dont la source se trouve près du point de rencontre des limites communales de Lannéanou, Scrignac et Botsorhel, coule vers le nord, se jetant dans la Manche ; son cours sert de limite communale avec Botsorhel. La rivière de Plouigneau, dénommée plus en aval Tromorgant, prend sa source à proximité immédiate du bourg de Lannéanou, coule vers le nord-nord-ouest et est un affluent de rive droite du Jarlot qui, avec le Queffleut, constitue plus en aval encore la rivière de Morlaix ; son cours sert de limite communale avec Plougonven. Ces vallées, presque dès leurs sources, coulent dans des vallons encaissés d'une cinquantaine de mètres par rapport aux plateaux avoisinants.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (6 °C), fraîches en été et des vents forts[8]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Monts d'Arrée », avec des hivers froids, peu de chaleurs et de fortes pluies[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 206 mm, avec 16,2 jours de précipitations en janvier et 8,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleyber-Christ à 15 km à vol d'oiseau[10], est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 101,6 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
Typologie
Au , Lannéanou est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14].
Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Morlaix, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[15]. Cette aire, qui regroupe 24 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (74,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (47,2 %), terres arables (23,3 %), forêts (13,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), prairies (5,4 %), zones urbanisées (1,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Treff de Lanleanou en 1559, Lanneanou en 1590[19].
Lannéanou vient de l’ancien breton « lann » (ermitage) et de « leanou » (nonnes)[20].
Curia Monialum (« la cour des moniales »), l'endroit où s'arrêta Rivod, l'assassin de saint Mélar, d'après la « Vie de saint Mélar », récit hagiographique, et où une source jaillit à l'endroit où Rivod, fatigué, planta son bâton, est probablement la source du ruisseau de Tromorgant, dénommé dans un texte de 1485 Dour Melar (« eau de saint Mélar »)[réf. nécessaire].
Antiquité et Haut Moyen Âge
Des monnaies gauloises ont été trouvées en 1832 et 1836 dans les tourbières de Grantugen (Grand Huguen désormais), à l'extrême-sud du territoire communal.
Lannéanou se trouvait au carrefour de deux voies romaines, celle allant de Carhaix à Lanmeur et celle allant de Morlaix à Quintin.
Le tracé d'un chemin ancien, remontant au moins à l'Armorique primitive, menant de Carhaix à Lanmeur en passant par Lannéanou et Plouigneau ; son tracé entre ces deux dernières localités correspond à la route communale actuelle[21]. La tradition rapporte qu'un jour, saint Mélar, qui cheminait sur cette route près de la ferme de Guerlavrec entre Botsorhel et Plouigneau, non loin de la chapelle Saint-Éloy, aperçut deux cavaliers ennemis qui le poursuivaient. Le saint se recommanda aux soins de la Providence et se coucha par terre, au bord du chemin : miracle, la terre s'enfonça sous lui, formant une fosse proportionnelle à sa taille, les herbes et les fleurs se rejoignirent par-dessus de sorte que les assassins passèrent sans le voir. Cet endroit est appelé Guélé Sant-Mélar ("Le lit de saint Mélar") est situé dans l'enceinte de la chapelle[22].
Les Le Rouge de Guerdavid se succèdent de père en fils comme seigneurs puis comtes de Guerdavid, depuis Hervé Le Rouge (avant 1350-avant 1414). Le manoir de Guerdavid étant alors situé dans la paroisse de Plouigneau (Lannéanou maintenant). Plusieurs Guerdavid sont inhumés dans l'église de Lannéanou et quatre de ses membres se sont succédé de père en fils entre 1826 et 1944, comme maires de la commune voisine de Botsorhel.
Une route royale allant de Carhaix à Morlaix passait par Lannéanou et Plougonven. Anatole Le Braz y fait allusion :« Le lendemain, un char-à-bancs attelé d'un bidet gris-fer, roulait à travers le pays montueux de l'Arrée, sur la route royale qui menait en ces temps-là de (...) Morlaix à Carhaix, en passant par Lannéanou. Chaque fois qu'un pâtre, qu'un bouvier, qu'un laboureur croisait la voiture, l'homme soulevait son chapeau (...) »[24].
Le , dans le contexte des guerres de la Ligue, des paroissiens de Lannéanou (Jean le Rémeur, François le Bensat, Ollivier Keragoff, Yvon le Bensat) prêtent serment de fidélité « tant pour eux que comme procureurs de ceux de la dite trève » à la "Sainte Union de Morlaix" constituée afin de défendre la ville et sa région des pillages[25].
Révolution française
Guillaume Le Lay[26] (1743 – 1818), exploitant d’un domaine congéable à Kerudoret, fut élu en député aux États généraux comme représentant de la sénéchaussée de Morlaix. Il siégea ensuite à l’Assemblée nationale constituante sous le nom de Guillaume Le Lay de Grantugen comme député du Finistère. Son action se focalisera sur la question du domaine congéable en Bretagne. Il présenta à l’assemblée dès des propositions en vue de son abolition et se fit le porte-parole de l’opinion publique des campagnes bretonnes dans ce sens. Il n’obtint finalement pas gain de cause. Après son mandat de député, il fut maire de Lannéanou en 1792 puis administrateur du district de Morlaix pendant la première moitié de 1793. Il reprit ensuite ses activités de cultivateur à Lannéanou avant d’occuper le poste de percepteur des contributions à Guerlesquin de 1805 à 1814[27].
Le XIXe siècle
Un jubilé s'est tenu à Lannéanou en 1827 comme en témoigne la "Croix du Jubilé" située dans le bourg.
Entre le et le , une épidémie de choléra fait 6 morts à Lannéanou[29].
Un temple protestant a existé à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle à Lannéanou, sous l'influence du pasteur Allfred Jenkins, baptiste, installé à Morlaix et qui développa dans plusieurs localités avoisinantes comme Primel, Roscoff, un culte protestant en langue bretonne[30].
Le XXe siècle
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Lannéanou (un pilier en forme de piédestal portant la statue en fonte bronzée, faite en grande série, d'un poilu au repos, due au sculpteur Étienne Camus, et entouré de chaînes portées aux 4 angles du monument par de petits piliers en granit)[31] porte les noms de 46 soldats personnes mortes pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux 3 (Jean Bourel, François Denis et Émile Le Duff) sont des soldats morts dès le lors des combats de Maissin (Belgique) ; tous les autres sont morts sur le sol français, à l'exception de François Thoraval, prisonnier de guerre en Allemagne, mort le , donc après l'armistice, dans un lazaret allemand[32].
L'Entre-deux-guerres
Une foire était organisée pendant l'Entre-deux-guerres à Lannéanou le dernier lundi d'août[33].
La Seconde Guerre mondiale
Le monument aux morts de Lannéanou porte les noms de 13 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[32].
Parmi les décédés de la Seconde Guerre mondiale, plusieurs sont des marins : Joseph Billien, quartier-maître, meurt dès le lors du naufrage du cargo Loire (ancien cargo anglais Irrawady) au large de Gibraltar ; François Marie Larhantec, né le à Lannéanou, quartier-maître, fit partie des 119 victimes (13 rescapés) de l'avisoVauquois coulé par l'explosion d'une mine[34] devant Le Conquet le [35] ; François Bozec, second maître, meurt accidentellement le à bord du croiseur cuirasséMarseillaise ; Jean Collobert, maître mécanicien, est victime du naufrage du sous-marinPerle le .
Plusieurs victimes sont des soldats : François Le Dissez, premier mort de la guerre originaire de la commune, est tué le lors d'une offensive française en Sarre ; Xavier de Miollis[Note 4], Louis Le Dissez, Pierre Le Nuz et Jean Nédélec sont morts au printemps 1940 pendant la Bataille de France ; Pierre Manéat et Édouard Toudic sont morts en captivité en Allemagne, ainsi que Jean Lahrer en Autriche. Pierre Perrot est mort accidentellement en Algérie en 1945.
Le XXIe siècle
La première décennie du XXIe siècle a été marquée par la fermeture de l'école et en 2009 par celle du restaurant-bar-épicerie, le dernier commerce de la commune[36] Un nouvel établissement restaurant-bar-épicerie a depuis été installé () dans les locaux de l'ancienne école rénovés et aménagés en conséquence[37].
Commentaire : Après une augmentation de 389 habitants entre 1793 et 1851 (+ 57,9 % en 58 ans), la population de la commune atteint son apogée en 1851. Depuis cette date, le déclin démographique est constant et important, le nombre des habitants baissant de 700 entre 1851 et 2008 (- 66 % en 157 ans, la commune se retrouvant en 2008 presque deux fois moins peuplée qu'elle ne l'était lors du premier recensement de 1793. Éloigné de villes importantes (la relative proximité de Morlaix n'a pas joué), faisant déjà partie de la Bretagne intérieure moins par l'éloignement du littoral que par son relief déjà accidenté, Lannéanou a connu au fil des décennies un important exode rural. Une légère reprise démographique est toutefois perceptible entre 1999, année du minimum démographique avec seulement 341 habitants et 2006, avec un gain de 22 habitants en 7 ans.
La variation naturelle reste constamment négative (- 0,5 % l'an entre 1999 et 2006) en raison du vieillissement démographique (en 2007, les 65 ans et plus constituent 20,7 % de la population et sont presque aussi nombreux que les 0 à 19 ans qui constituent 21,7 % de la population totale). En 1999 par exemple, la commune a enregistré 3 naissances pour 12 décès ; en 2007, elle n'a enregistré aucune naissance. Le solde migratoire, après avoir été négatif pendant plus d'un siècle (- 1,7 % l'an entre 1968 et 1975, - 1,2 % l'an entre 1975 et 1982) a toutefois été positif entre 1999 et 2007 (+ 1,2 % l'an)[40]. Quatorze maisons supplémentaires ont quand même été construites dans la commune entre 1999 et 2007[41].
En 2016, Lannéanou était la 259e commune du département en population avec ses 389 habitants (territoire en vigueur au ), à égalité avec Port-Launay, derrière Loc-Eguiner (258e avec 400 habitants) et devant Trézilidé (261e avec 378 habitants).
L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, reconstruite après son écroulement en 1833, abrite des statues de saint Jean-Baptiste, saint Yves, saint Mélar, de la Vierge-Mère et un Ecce homo ; une statue de saint Méen, coiffé d'une mitre et tenant en laisse un chien muselé, se trouve sur sa façade extérieure. Le clocher-mur, datant de 1751, est le seul élément de l'église précédente qui ait été conservé.
Bannière de procession figurant saint Joseph avec l'Enfant Jésus.
La chapelle Saint-Sébastien et Saint-Fabien (1560) dépend du château de Kerlosser et est de style Renaissance ; elle est propriété privée de la famille La Tour. Son pignon ouest est surmontée d'un clocheton original, en forme de lanterneau[47].
La chapelle Saint-Claude, à Kéruscar, date du XIXe siècle.
La « Croix de mission » du cimetière date du XIXe siècle, mais a été remaniée lors de la mission de 1930[48].
Trois croix se trouvent respectivement à Guerguiniou, Croix-Morvan (Croaz Morvan) et Croix Blanche[49].
Plusieurs châteaux ou manoirs :
le manoir (aujourd'hui disparu) du Guerdavid, possédait autrefois une chapelle privée. Subsiste aujourd'hui, la ferme et un colombier du XVe siècle. Les terres de Guerdavid sont propriété de la famille Le Rouge de Guerdavid au moins depuis le XIVe siècle ;
↑Ce socle briovérien de schistes tendres constitue ainsi la série géologique dominante du domaine centre armoricain, jusqu'à la forêt de Paimpont.
↑Le batholite hercynien médio-armoricain, orienté approximativement d'ouest en est, est constitué d'une « traînée » de plutons granitiques (Saint-Renan–Kersaint, Plounéour-Menez, Plouaret, Huelgoat, Quintin, Moncontour et Dinan). Cf Louis Chauris, « Pour une géo-archéologie du Patrimoine : pierres, carrières et constructions en Bretagne. Neuvième partie : Le batholite granitique hercynien médio-armoricain », Revue archéologique de l'Ouest, no 35, , p. 241-276 (DOI10.4000/rao.5626)
↑Philippe Guillet, Jean-Luc Bouchez, Jean-Louis Vigneresse, « Le complexe granitique de Plouaret (Bretagne) : Mise en évidence structurale et gravimétrique de diapirs emboités », Bulletin de la Société Géologique de France, t. 1, no 4, , p. 503–513 (DOI10.2113/gssgfbull.I.4.503).
↑Suzanne Durand et Hubert Lardeux, Bretagne, Masson, , p. 74.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Guillaume Marie Lejean, " Histoire communale du Finistère. (Première partie.) Histoire politique et municipale de la ville et de la communauté de Morlaix, depuis les temps reculés jusqu'à la Révolution française", V. Guilmer, 1846, Morlaix, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5789163j/f19.image.r=Lanneanou.langFR
↑Anatole de Barthélémy, "La Chambre de la Sainte-Union à Morlaix, du 27 septembre 1589 au 31 juillet 1590", Revue historique de l'Ouest, 1885, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k67179f/f148
↑Né le 22 avril 1743 à Kerudoret en Lannéanou, mort le 24 avril 1818 au bourg de Guerlesquin, marié à Françoise Salaun le 3 novembre 1767 à Guerlesquin. Arch. Dép. Finistère : registres paroissiaux et état-civil.
↑Y. Saint-Jalm, Guillaume Le Lay de Grantugen député de la Bretagne aux états généraux de 1789 et à l’Assemblée nationale constituante, Bulletin de la Société Archéologique du Finistère, tome CXLII, 2014, p. 249-277