Sur fond de campagne d'Italie, Pierre-Aristide Bréal met en scène la préparation de leur exode par des commerçants milanais décidant de fuir les occupants français « qui ne paient pas en or mais en assignats sans valeur » et les frasques du brigadier Le Gouce et du soldat Flicot, hussards indisciplinés qui n'hésitent pas, pour éviter le conseil de guerre, à accuser des civils innocents. Leur capitaine ayant découvert le pot aux roses, ils n'échappent au peloton d'exécution qu'eu égard à l'honneur de l'escadron récompensé par Bonaparte pour son comportement exemplaire à la bataille de Lodi[4].
« Des lâches, il en faut, s'il n'y en avait pas, qui est-ce qui repeuplerait le monde quand tous les fiers-à-bras auront fini de s'entretuer[5] ? »
Acte I
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Acte II
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Acte III
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