Louis Lamarque naît à Aiguillon le [1]. C'est parallèlement à une carrière d'enseignant et de directeur d'école à Aiguillon qu'il poursuit ses activités de peintre et de graveur[2].
Mort en , Louis Lamarque est inhumé à Aiguillon[3] où le centre d'animation municipale porte aujourd'hui son nom.
Contributions bibliophiliques
L'abolition de l'esclavage de Guy Fau; suivi de Atar-Gull d'Eugène Sue, préface d'Aimé Césaire, gravures originales dans le texte par Louis Lamarque, collection « L'humanité en marche », Éditions du Burin, 1972.
Un siècle de peinture - Le Lot-et-Garonne en toile de fond, Musée Raoul-Dastrac, Aiguillon, [5].
Hommage aux peintres aiguillonnais : Fernand Sabatté, Raoul Dastrac, Louis Lamarque, Musée Raoul-Dastrac, Aiguillon, juin-[6].
Réception critique
« Lamarque s'attache particulièrement à la dissolution de l'objet ou du paysage dans la lumière, ce qui le situe à mi-chemin de l'impressionnisme de Monet et de la non-figuration contemporaine. C'est une peinture presque monochrome avec ses beiges à la dominante, ses verts, ses bleus ; fort équilibrée, pondérée, elle révèle aussi que Lamarque aime la matière rude et dépouillée. » - Henry Galy-Carles[4]
« Il utilise une matière généreuse pour brosser les paysages où l'accent semble être surtout mis sur la traduction de la lumière. » - Dictionnaire Bénézit[7]