Née à Saint-Calais (Sarthe) le , Monique Cerisier fait ses études secondaires à l’institution Saint-Julien au Mans.
Après des études de lettres à la Sorbonne, Monique Cerisier-ben Guiga s’établit en Tunisie en 1965[1], en compagnie de son mari Habib, médecin et neveu de l'avocat et l'homme politique tunisien Bahri Guiga. À partir de son arrivée en Tunisie, elle enseigne dans le système scolaire tunisien d'abord au lycée de jeunes filles d’El Omrane, puis de 1969 à 1986 au lycée de Grombalia, enfin au lycée français Pierre-Mendès-France à Tunis-Mutuelleville[2].
En 1988, elle est élue déléguée au Conseil supérieur des Français à l'étranger (CSFE). Réélue en 1991, elle est membre, successivement, de la commission des affaires sociales puis de celle des droits.
Élue sénatrice représentant les Français hors de France en 1992 elle est réélue en 2001.
Femme politique, elle est membre du Parti socialiste, dont elle démissionne fin 2013 pour dénoncer l'absence de condamnation de la politique d'Israël à l'égard des Palestiniens[5].
Elle meurt le , après une longue maladie[6],[7],[8].