Nauzon

	Nauzon; Ruisseau de l'Étang de l'Étourneau
	; Le ruisseau de l'Étang de l'Étourneau en limites ; de Champniers-et-Reilhac et de Saint-Mathieu.
Caractéristiques
Longueur	11,6 km
Bassin	29 km2
Bassin collecteur	Charente
Régime	pluvial océanique
Cours
Source	Saint-Mathieu
· Localisation	Forêt de Puy Haut
· Altitude	vers 345 m
· Coordonnées	45° 40′ 35,8″ N, 0° 47′ 01,7″ E
Confluence	Trieux
· Localisation	Champniers-et-Reilhac, ; Maisonnais-sur-Tardoire
· Altitude	vers 185 m
· Coordonnées	45° 41′ 15,2″ N, 0° 40′ 52,4″ E
Géographie
Pays traversés	France
Régions	Nouvelle-Aquitaine
Département	Dordogne, Haute-Vienne
	Sources : Sandre, Géoportail
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Le Nauzon (également appelé ruisseau de l'Étang de l'Étourneau dans sa partie amont^[1]) est un ruisseau du sud-ouest de la France, affluent du Trieux, donc sous-affluent de la Charente. Il arrose les départements de la Haute-Vienne et de la Dordogne.

Géographie

Le ruisseau de l'Étang de l'Étourneau nait au sortir d'un étang en Haute-Vienne, vers 345 mètres d'altitude, tout au sud de la commune de Saint-Mathieu, en forêt de Puy Haut, à proximité de la route départementale 67.

Son cours prend d'abord la direction du nord-ouest. Après avoir reçu sur sa gauche son principal affluent, le ruisseau de l'Étang Neuf, il prend le nom de Nauzon. Le cours oblique alors vers l'ouest et marque sur ses sept derniers kilomètres la limite entre Haute-Vienne au nord et Dordogne au sud.

Il conflue avec le Trieux en rive droite, vers 185 mètres d'altitude, près du moulin de Leymeronie, entre les communes de Maisonnais-sur-Tardoire et Champniers-et-Reilhac.

Sa longueur est de 11,6 km pour un bassin versant de 29 km²^[2].

Affluents

Parmi les six affluents du Nauzon répertoriés par le Sandre^[2], les deux plus longs sont :

le ruisseau de l'Étang Neuf, 4,2 km^[3], en rive gauche,
la Samaritaine, 3,4 km^[4], en rive droite.

Départements, communes et cantons traversés

Le Nauzon arrose deux départements et trois communes^[2]^,^[5] réparties sur deux cantons :

Haute-Vienne
- Canton de Saint-Mathieu
  - Saint-Mathieu (source)
  - Maisonnais-sur-Tardoire (confluence)

Dordogne.
- Canton de Bussière-Badil
  - Champniers-et-Reilhac (confluence)

Monuments ou sites remarquables à proximité

L'église Saint-Paul de Reilhac, romane du XII^e siècle^[6].

Galerie

Le ruisseau de l'Étang de l'Étourneau en limites de Champniers-et-Reilhac et de Saint-Mathieu.
Le Nauzon en limites de Champniers-et-Reilhac et de Maisonnais-sur-Tardoire.

Voir aussi

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Nauzon, sur Wikimedia Commons

Articles connexes

Notes et références

↑ Pour le Sandre, le cours d'eau porte également le nom de « ruisseau de l'Étang de l'Étourneau ». Cette information est confirmée sur la carte 1932 O de l'IGN : la partie amont située sur la commune de Saint-Mathieu s'appelle ainsi.
↑ ^{a b et c} Sandre, « Le Nauzon (R1050500) » (consulté le 4 février 2013).
↑ Sandre, « Ruisseau de l'Étang Neuf (R1050530) » (consulté le 4 février 2013).
↑ Sandre, « La Samaritaine (R1050570) » (consulté le 4 février 2013).
↑ Contrairement à ce qu'écrit le Sandre, le Nauzon n'arrose pas la commune de Busserolles qui est située sur la rive opposée au confluent du Trieux et du Nauzon.
↑ « Eglise Saint-Paul de Reilhac », notice n^o PA00082469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 4 février 2013.

[1] Pour le Sandre, le cours d'eau porte également le nom de « ruisseau de l'Étang de l'Étourneau ». Cette information est confirmée sur la carte 1932 O de l'IGN : la partie amont située sur la commune de Saint-Mathieu s'appelle ainsi.

[sandre-2] {a b et c} Sandre, « Le Nauzon (R1050500) » (consulté le 4 février 2013).

[3] Sandre, « Ruisseau de l'Étang Neuf (R1050530) » (consulté le 4 février 2013).

[4] Sandre, « La Samaritaine (R1050570) » (consulté le 4 février 2013).

[5] Contrairement à ce qu'écrit le Sandre, le Nauzon n'arrose pas la commune de Busserolles qui est située sur la rive opposée au confluent du Trieux et du Nauzon.

[6] « Eglise Saint-Paul de Reilhac », notice n^o PA00082469, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 4 février 2013.

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