Le , lors de la célébration inaugurale de la Divine Liturgie (rite maronite), et entouré de tous les évêques du Liban, le patriarche maroniteElias Hoyek consacre le Liban à la Vierge Marie en s’adressant en ces termes : « Oh Marie, reine des montagnes et des mers, et reine de notre cher Liban… ». Par la même occasion le patriarche fixe, pour l’Église maronite, au premier dimanche du mois de mai la fête liturgique annuelle de Notre-Dame du Liban.
Très rapidement l’endroit devient un lieu important de pèlerinages et visites touristiques. Surtout durant le mois de mai. Chrétiens comme musulmans se confient à Notre-Dame du Liban, protectrice du pays. À la fin du XXe siècle une vaste église est édifiée, à côté de la chapelle-sanctuaire, pour permettre de mieux recevoir les visiteurs. Elle est bientôt érigée en basilique mineure.