Il connaît un important succès dans les années 1980 et 1990 en animant des émissions radiophoniques, dont Alwan wa ajwaa et Yaoum said, et en produisant et animant les émissions télévisées du samedi soir et du dimanche, dont Khamsa ala khamsa, Laou samahtom et Sahriya al fadhaeya. Considéré comme le pionnier du direct et des variétés dans les télévisions arabes, il est le révélateur pour le public tunisien de nombreux chanteurs arabes, dont Kadhem Saher, Pascale Machaalani, Assala Nasri, Majida El Roumi[1], George Wassouf, Nour Mhanna, Mayada El Hennawy[1], et tunisiens, dont Saber Rebaï, Najet Attia et Amina Fakhet.
Orphelin dès son jeune âge, il est connu par son attachement particulier à sa mère : il commence chacune de ses émissions par sa célèbre phrase Ma ridha allah ella bi ridha alwalidain.
Il meurt d'une crise cardiaque soudaine, le jour où il devait présenter une émission dans la soirée. Sa mort surprend le monde arabe et la famille culturelle tunisienne.