Le climat est tempéré de type océanique, en raison de l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.
Le tableau ci-dessous indique les valeurs normales de l'ensoleillement, des températures et des précipitations, observées par Météo-France à Ossun, où se trouve la station météorologique de référence pour le département.
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[9] :
le « réseau hydrographique de l'Échez » (392 ha), couvrant 26 communes dont trois dans les Pyrénées-Atlantiques et 23 dans les Hautes-Pyrénées[10] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[9] :
les « coteaux et vallons des Angles et du Bénaquès » (12 879 ha), couvrant 45 communes du département[11].
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Odos est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].
Elle appartient à l'unité urbaine de Tarbes[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 5],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (51,3 %), zones urbanisées (19,7 %), terres arables (16,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), forêts (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %), prairies (0,8 %), zones humides intérieures (0,2 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Morphologie urbaine
La ville est scindée en trois regroupements : un secteur agricole avec un petit centre-ville, un lotissement construit dans les années 1960 nommé le « Bouscarou » et, séparé par l'autoroute A64, un autre quartier résidentiel[13].
Logement
En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 1 440[I 6].
Parmi ces logements, 94,8 % sont des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 4,2 % des logements vacants.
Voies de communication et transports
Par la route : la D 15 ainsi que la D 15a passent respectivement aux extrémités sud et nord de la commune. De même, l'A64 passe au nord d'Odos, et la N 21 passe à l'ouest.
Par le train : la gare d'Ossun se trouve à l'ouest de la commune.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[16]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1997, 1999, 2000 et 2009[17],[14].
Odos est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[18].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 444 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 444 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[14].
Risque technologique
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].
Toponymie
On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[23] qui rapporte les dénominations historiques du village :
Dénominations historiques :
Odos (1285, montre Bigorre) ;
Audos (1292, procès Bigorre) ;
De Odossio, latin (1300, enquête Bigorre ; 1313, Debita regi Navarre) ;
On[évasif] a trouvé des vestiges de présence humaine dès le Ve siècle avant Jésus-Christ[24].
Le site est celui d'un ancien oppidumgallo-romain, motte d'une dizaine de mètres de hauteur au centre du futur village.
Antiquité
Il reste trace d'une tour bâtie en galets roulés disposés en épis entre des arases de brique (Ve siècle ?). Des constructions et palissades en bois furent remplacées, sans doute au XIIIe siècle, par un château en dur avec une enceinte, mentionné dans plusieurs textes[Lesquels ?].
Moyen Âge
1342 : l'église Saint-Georges d'Odos est mentionnée dans le pouillé.
1380 : Froissart raconte que le château d'Odos, tenu par les Anglais[25], a été assiégé et détruit par les troupes de Du Guesclin.
: Bernard de Coarraze reçoit de Jean de Foix, son suzerain, la seigneurie d'Odos.
1249 : La cour arbitrale d'Odos est citée dans le règlement d'un différend sur un droit de pacage entre l'ordre du Temple de Bordères-sur-l'Échez et le véziau d'Ibos (véziau : terme gascon signifiant communauté). En 1281, elle intervient dans un litige sur le droit d'utiliser les landes communales entre Tarbes et Séméac.
1569 : L'église d'Odos est incendiée par les troupes protestantes de Montgomery.
: Henri IV confie à Jean de Lassale, fils de Joannicot, « un château qui est à présent tout rompu et ruiné et ne reste plus que de masure et vieille muraille inhabitable ».
. Un inventaire des biens de la communauté d'Odos recense 400 journaux (le journal était la superficie moyenne de terre travaillée en une journée) : le Plan de Beyrède (200 journaux), le Bouscarou (40 journaux), le Buala (100 journaux), la Devèze (40 journaux), les Alliats (20 journaux). Des livres terriers sont rédigés, le deuxième en 1765.
1701 : Procès des habitants contre le seigneur d'Odos. Mais un arrêt du Parlement de Toulouse maintient le seigneur dans la propriété des landes, des bois, des terres et fermes du lieu.
: transaction entre Anne d'Odos et les habitants au sujet des landes. Ceux-ci s'engagent à lui verser 200 sols morlaas par an.
: Paul de Lassale, dernier seigneur d'Odos, veuf de Barthélémie Ducasse d'Artagnan, épouse en secondes noces Cécile Barère de Vieuzac, jeune sœur de Bertrand Barère.
1852 - 1864 : Le château est fortement remanié par le général Courby de Cognord, époux de Joséphine de Lassale, petite-fille de Cécile Barère de Vieuzac.
: Acquisition de la propriété Cénac Larré pour la construction de la mairie-école.
: Vente aux enchères de 2 lots, le château avec ses dépendances (12 hectares), et la métairie Gardette (43 hectares).
1895 : le château est acheté par Paul et Madeleine de Févelas[26], qui s'y installent en 1907. À la mort de Madeleine de Févelas en 1958, le château reste à l'abandon.
1936 : La commune est dévastée par un cyclone. La quasi-totalité des toitures est endommagée.
1947 : Monsieur Lucien Rieudebat est élu maire, et le restera jusqu'en 1983. La commune connait un grand essor avec l'électrification, la création de la zone industrielle et commerciale de la route de Lourdes.
1968 : M et Mme Galissard achètent le château et le restaurent.
1970 : Acquisition de terrains dépendant du château pour la construction du groupe scolaire, de la salle omnisports, de courts de tennis, du lotissement des Peupliers.
1972 : Les landes communales disparaissent au profit des lotissements des Alliats et du Bouscarou.
Pionnière dans l'accueil des gens du voyage, Odos a construit, en 2003, sous l'impulsion de son maire M. Gérard Boube, une aire de stationnement en respect de la loi[27]. Elle comprend 12 places réparties en 8 emplacements. Cet investissement a été bien reçu par la communauté tzigane du Grand Tarbes.
Sous l'ancien régime, la population est dénombrée par feux, c'est-à-dire par foyers fiscaux. Pour en déduire le nombre d'habitants, les historiens appliquent souvent un coefficient multiplicateur de 5. Certains documents indiquent le nombre de maisons.
1300 : 38 feux, soit approximativement moins de 200 habitants.
1612 : 83 maisons et 6 bordes (granges).
1720 : 73 feux, soit approximativement moins de 400 habitants.
En 1846, 142 maisons ; en 1872, 173 maisons. Pour la population, voir ci-dessous.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2021, la commune comptait 3 303 habitants[Note 7], en évolution de +3,19 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 846 personnes, parmi lesquelles on compte 73 % d'actifs (65,9 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 27 % d'inactifs[Note 10],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 12]. Elle compte 624 emplois en 2018, contre 749 en 2013 et 774 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 235, soit un indicateur de concentration d'emploi de 50,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50 %[I 13].
Sur ces 1 235 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 123 travaillent dans la commune, soit 10 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 91,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % les transports en commun, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Francis Heaulme, dit « le routard du crime », a séjourné au foyer pour SDF Don-Bosco[13], peu avant de rejoindre la Motte-du-Caire, en tant qu'employé saisonnier dans la castration du maïs[42].
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Tarbes comprend une ville-centre et quatorze communes de banlieue.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
↑Petit journal 2010. Hors série Odos; Histoires, légendes d'hier et d'aujourd'hui; Dir. de publication Maurice Tejedor, textes et photos Claude Bonneu et Michel Seize.
↑Pierre Arnaud de Béarn, frère naturel de Gaston Fébus, tient alors le château de Lourdes, ainsi que toute la Bigorre et le Lavedan, pour le roi d'Angleterre.
↑Bulletin municipal de Novembre 1997. Paul Humeau : Odos et son château.
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