Il est aussi intéressé à l'écriture chypro-minoenne, dont il a compilé un corpus d'inscriptions (aujourd'hui obsolète, mais le corpus plus récent de S. Ferrara n'est que partiellement réalisé).
Il épouse Émilia Masson (1940-2017), née Jovanovic, originaire de Serbie. Hittitologue de formation, elle contribue à l'archéologie des Balkans et de l'Asie Mineure du Néolithique et de l'âge du bronze, ainsi qu'à l'étude des inscriptions de Chypre et de la culture Vinca[3]. Après sa mort, la fille d'Olivier et d'Emilia, Diana Masson, fait don de la bibliothèque de ses parents au Centre d'études chypriotes[4].
↑(en) Lemos, « M. Amandry, H. Cassimatis, A. Caubet, A. Hermary (edd.): Mélanges Olivier Masson. (Centre d’études chypriotes. Cahier 27—1997.) Pp. vi + 172, 41 pls. Paris: De Boccard, 1998. Paper. Modèle:Text: 2-7018-0116-8. », The Classical Review, vol. 51, no 2, , p. 443–444 (ISSN1464-3561, DOI10.1093/cr/51.2.443, lire en ligne)