L'organisation de la gendarmerie mobile en France est de type décentralisé. En effet, il n'existe pas au sein de la Direction générale de la Gendarmerie nationale (DGGN) de direction ou de sous-direction de la gendarmerie mobile mais une sous-direction fonctionnelle de la défense, de l'ordre public et de la protection[1]. Les formations de gendarmerie mobile, quant à elles, sont placées sous l'autorité hiérarchique des commandants des sept régions de gendarmerie situés au siège de chacune des zones de défense et de sécurité, qui sont eux-mêmes directement subordonnés au directeur général de la gendarmerie nationale.
Chacune de ces sept « régions zonales » supervise plusieurs groupements de gendarmerie mobile dans lesquels sont répartis les escadrons de gendarmerie mobile (EGM). En 2024, il existe dix-huit groupements et 116 escadrons[2] dits « de marche »[3].
L'organisation en groupements date de 1967. Avant cette date, les escadrons appartenaient à des légions, qui ont été brièvement rétablies de 1991 à 2005 (les groupements leur étant subordonnés) puis définitivement supprimées à cette date[5].
À l'occasion de ces réorganisations, la numérotation des unités a ainsi été modifiée. Ainsi, depuis la Seconde Guerre mondiale, celle des escadrons l'a été à deux reprises (1967 et 1991) tandis que celle des groupements (créés seulement en 1967) ne l'a été qu'une seule fois (en 1991) – voir ci-dessous.
La Gendarmerie présente ses escadrons de gendarmerie mobile comme des unités projetables vite, loin et longtemps avec une grande autonomie, ces exigences se traduisant à la fois dans l'entrainement, l'organisation et la dotation de ces formations[5].
Lorsque la situation nécessite l'emploi coordonné de plusieurs escadrons, ceux-ci sont regroupés en un Groupement Tactique de Gendarmerie ou GTG[6] (deux à cinq escadrons) ou un Groupement opérationnel de maintien de l'ordre ou GOMO (plusieurs GTG ou plus de cinq escadrons), commandé par un commandant de groupement de gendarmerie mobile assisté d'un état-major constitué à partir de celui de son propre groupement.
La création en 1921 (loi du 22 juillet 1921), de pelotons mobiles de gendarmerie au sein de la gendarmerie départementale répond à la prise de conscience du besoin d’une force de gendarmerie spécialisée dans le maintien de l'ordre pour compléter l’action de la police et surtout pour éviter l’emploi de l’armée, avec tous les risques que celui-ci comporte (fraternisation ou violence excessive).
Le 15 novembre 1921, une circulaire de la Direction de la gendarmerie planifie l’organisation de 24 pelotons en région parisienne (16 à cheval et 8 à pied) et 87 en province (52 à cheval et 35 à pied). Chaque peloton, à l’effectif de 60 en région parisienne et 40 en province, est commandé par un lieutenant ou un sous-lieutenant et doit être capable d’aligner un effectif de 30 hommes au maintien de l’ordre. Les déplacements des unités s’effectuent normalement en camionnettes ou en train. Pour ses missions militaires, un peloton dispose, en plus de son armement individuel, d’un lot de grenades, d’un mortier, de deux mitrailleuses et de deux fusils-mitrailleurs[7].
En 1926, les pelotons mobiles prennent l'appellation de garde républicaine mobile (GRM). La GRM devient une subdivision de la gendarmerie nationale en 1927.
La garde républicaine mobile est organisée en légions, groupes et compagnies, chaque compagnie comptant généralement trois pelotons. De 1927 à 1940, elle monte constamment en puissance, passant de 7 légions, 26 groupes et 84 compagnies en 1932 à 14 légions, 54 groupes et 167 compagnies regroupant 285 pelotons à pied, 156 pelotons à cheval et 51 pelotons motocyclistes en 1939.
Elle est dissoute après l'armistice de 1940 et remplacée en zone sud par la Garde, qui est séparée de la gendarmerie. Rattachée à la direction de la cavalerie, la Garde adopte l'escadron comme unité élémentaire (au lieu de la compagnie).
Réunie à la gendarmerie en 1944, elle prend l'appellation de garde républicaine qu'elle gardera jusqu'à ce que, par décret du 20 septembre 1954, elle change de nouveau de nom pour devenir la gendarmerie mobile.
L'escadron reste l'unité de base de la garde républicaine puis de la gendarmerie mobile.
Avant 1967, les escadrons étaient subordonnés à des légions de gendarmerie mobile, elles-mêmes éventuellement subdivisées en groupes d'escadrons lorsque le nombre d'escadrons le justifiait.
Les groupements de gendarmerie mobile ont été créés en 1967[5] et les légions ont été dissoutes à cette date.
De 1967 à 1991, les groupements furent subordonnés à des circonscriptions régionales implantées au niveau de chaque région économique : il y avait vingt-trois groupements : vingt en province et trois en région parisienne. Les groupements comportant un nombre élevé d'escadrons étaient eux-mêmes subdivisés en groupes d'escadrons mais ces derniers ont été dissous, pour la plupart dans les années 1980 ou 90[8].
En 1991, les légions de gendarmerie mobile ont été recréées, chaque légion étant subordonnée à l'une des régions zonales. En 2005, les légions ont été à nouveau dissoutes et les groupements directement subordonnés à ces mêmes régions zonales[5].
Depuis 2005, 15 escadrons de marche[3] ont été dissous et le nombre de groupements a été réduit de 25 à 18[9].
Dans le cadre des mesures prises pour renforcer les forces de sécurité à la suite des attentats de 2015, un 109e escadron est créé à Rosny-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) tandis qu'un peloton de marche[3] supplémentaire est créé au sein de 22 escadrons en 2016 mais ces pelotons sont dissous en 2019 afin de répartir leurs personnels dans l'ensemble des escadrons[10].
Jusqu'en 2015, la gendarmerie mobile comportait 46 escadrons de réserve de gendarmerie mobile ou ERGM répartis entre les groupements mais ces unités ont été dissoutes lors de la fusion des réserves de la gendarmerie départementale, de la gendarmerie mobile et de la garde républicaine, la réserve opérationnelle de la gendarmerie ne comportant plus désormais que des compagnies de réserve territoriales ou CRT.
La Gendarmerie mobile est composée d'environ 13 000 personnels [11]. Elle met en œuvre 116 escadrons[2] ainsi que des unités spécialisées dans les missions de sécurité ou de soutien et la Musique de la gendarmerie mobile. L'effectif moyen d’un escadron est d'environ 118 hommes[12]
L'unité de base est l'escadron. L'échelon supérieur est le groupement. Enfin les groupements sont subordonnés aux généraux commandants les régions zonales[14] dans lesquels ils sont implantés.
Commandé par un capitaine ou un chef d'escadron, un escadron de gendarmerie mobile (EGM) est composé d'environ 110 militaires regroupés en cinq pelotons :
un peloton hors-rang (commandement, administration et logistique) ;
Quelques escadrons disposent d'un ou deux pelotons supplémentaires affectés à des missions de sécurité/protection spécifiques ou à des escortes sensibles.
Certains escadrons implantés dans ou à proximité de zones montagneuses reçoivent également une qualification « montagne »[19].
Sur le terrain, un escadron déploie usuellement un groupe de commandement et trois ou quatre pelotons de seize gendarmes[20]. Un peloton, commandé en général par un lieutenant, un sous-lieutenant ou un major — mais parfois par un capitaine — s'articule en deux groupes de taille égale.
Les escadrons se déplacent dans des véhicules de transport de groupe ou VTGGM (Véhicule de transport de groupe de Gendarmerie mobile) de type Irisbus à raison de deux véhicules par peloton. Ils sont également dotés d'un véhicule PC radio de type Renault B110 et, pour le transport de leur matériel, de véhicules d'allègement de type Renault Premium. D'autres matériels sont disponibles au niveau des groupements ou des régions : systèmes DRAP (Dispositif de retenue autonome du public), camions TRM 2000, etc. Lors des missions outre-mer, les gendarmes mobiles utilisent des véhicules de groupe tous chemins de type Renault B110 4x4 ou des fourgons Irisbus.
Depuis 1991, chaque escadron est identifié par un numéro ; exemples : escadron 15/3 à Vannes, escadron 15/6 à Nîmes ou escadron 25/6 à Digne-les-Bains.
1er chiffre = numéro du groupement de gendarmerie mobile d'appartenance, au sein de la région.
2e chiffre = numéro de l'escadron dans le groupement[21].
3e chiffre = numéro de la région zonale de gendarmerie (qui était également le numéro de la légion de gendarmerie mobile avant leur dissolution).
Le général commandant chacune des 7 régions zonales de la Gendarmerie (qui correspondent aux zones de défense et de sécurité administratives) assure également le commandement de tous les groupements de gendarmerie mobile implantés dans sa zone.
Organisation opérationnelle
L'unité opérationnelle de base est l'escadron, qui, en fonction du besoin, peut être employé au maintien de l'ordre à effectif plein (4 pelotons) ou réduit (3 pelotons). Dans ses missions d'assistance à la gendarmerie départementale, l'escadron peut constituer des détachements de tailles diverses (peloton, détachement de surveillance et d'intervention ou DSI etc.)
Si la mission nécessite plus de ressources, la gendarmerie mobile s'appuie sur ses structures organiques permanentes (escadron, groupement) pour constituer des formations opérationnelles temporaires adaptées.
Groupements tactiques et opérationnels : GTG et GOMO
Lorsque la situation nécessite l'emploi coordonné de plusieurs escadrons, ceux-ci sont regroupés pour former un Groupement Tactique (de) Gendarmerie ou GTG[22] (2 à 5 escadrons) commandé par un commandant de groupement de gendarmerie mobile ou son second. Si le besoin en effectifs est supérieur, un Groupement opérationnel de maintien de l'ordre ou GOMO (plusieurs GTG ou plus de 5 escadrons) est créé, sous le commandement d'un officier désigné par la Direction générale (le plus souvent c'est un commandant de groupement) [23].
Dispositif d'intervention augmenté de gendarmerie (DIAG)
Enfin, en cas de crise demandant une grande réactivité et l'emploi de moyens particuliers (recherche d'individus dangereux, violences urbaines, rétablissement de l'ordre de haute intensité...) la gendarmerie mobile crée un Dispositif d'intervention augmenté de gendarmerie ou DIAG sous le commandement d'un GTG (commandant de groupement). Le DIAG est constitué d'au moins un escadron complété par les moyens supplémentaires nécessaires à la résolution de la crise : autre(s) escadron(s), unités d'intervention spécialisée, capacité blindée, capacité héliportées, drones etc. [23].
L'après guerre: garde républicaine puis gendarmerie mobile
Organisation actuelle (2024)
18 groupements comprenant chacun de 5 à 11 escadrons pour un total de 116 escadrons de marche.
(*) Note : lors d'un transfert géographique, il y a en fait dissolution de l'unité puis création d'une nouvelle unité sur le nouveau lieu d'implantation.
Organisation de 1991
À la suite de la réforme de 1991, les légions de gendarmerie mobile sont recréées et les escadrons sont re-numérotés. L'organigramme est identique à celui de 2005 à part que :
Chacun des 25 groupements (26 à partir de 1997) est subordonné à une légion de Gendarmerie mobile qui porte le même numéro que la région zonale indiquée dans l'organigramme de 2005 - sauf en région parisienne où les escadrons sont subordonnés à la Légion de Gendarmerie mobile d'Île-de-France.
Il existe à l'époque 9 régions zonales. En 2000, le nombre de régions sera ramené à 7 et les 4e et 8e Légions seront dissoutes. Leurs groupements seront transférées aux 2e, 3e et 7e légions (avec des modifications dans la répartition des escadrons entre les groupements).
Légion de Gendarmerie mobile d'Île-de-France (LGMIF).
Groupement Blindé de Gendarmerie mobile (GBGM) à Versailles-Satory.
À la suite de la réforme de 1967, qui voit la création des groupements de gendarmerie mobile, l'organisation comprend 23 groupements - 23 groupes d'escadrons - 123 escadrons de marche et 4 escadrons des services[26].
Les escadrons créés après mai 68 sont indiqués en italique et avec un astérisque (*)[27].
À noter que cet organigramme sera très fréquemment modifié, notamment en Île-de-France.
1er Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale de Paris
Commandement de la gendarmerie mobile en région Parisienne (Arcueil)
1er Groupement blindé de gendarmerie mobile (1er GBGM) Versailles-Satory – 6 escadrons
Groupe I/1 Satory
EGM 1/1 Le Plessis-Robinson
EGM 2/1 Satory
EGM 3/1 Satory
Groupe II/1 Issy-les-Moulineaux
EGM 4/1 Ivry-sur-Seine
EGM 5/1 Vanves
EGM 6/1 Issy-les-Moulineaux
2e Groupement de gendarmerie mobile (Maisons-Alfort) – 6 escadrons de marche et 2 escadrons des services
Groupe I/2 Maisons-Alfort
EGM 1/2 Maisons-Alfort
EGM 2/2 Maisons-Alfort
EGM 3/2 Maisons-Alfort
Groupe II/2 Melun
EGM 4/2 Melun
EGM 5/2 Melun
EGM 6/2 Melun
Groupe d’escadrons des services – Le Plessis-Robinson
1er escadron des services Le Plessis-Robinson
2e escadron des services Le Plessis-Robinson
3e Groupement de gendarmerie mobile à Drancy – 9 escadrons de marche et 2 escadrons des services
Groupe I/ 3 Drancy
EGM 1/3 Drancy
EGM 2/3 Drancy
EGM 3/3 Drancy
Groupe II/3 Saint-Denis
EGM 4/3 Pont-Yblon
EGM 5/3 Le Blanc-Mesnil
EGM 6/3 Saint-Denis
Groupe III/3 Champigny
EGM 7/3 Champigny
EGM 8/3 Champigny
EGM 9/3 Champigny
Groupe d’escadrons des services - Drancy
3e escadron des services Drancy
4e escadron des services Pont-Yblon/Le Blanc-Mesnil
Circonscription Régionale de Gendarmerie Centre (Tours)
4e Groupement de gendarmerie mobile à Tours – 7 escadrons
Groupe I/4 Tours
EGM 1/4 Châteauroux
EGM 2/4 Blois
Groupe II/4 Chartres
EGM 3/4 Saint-Amand-Montrond
EGM 4/4 Chartres
EGM 5/4 Dreux
EGM 6/4 Pithiviers
EGM 7/4 Orléans(*)
2e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Lille)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Nord Pas-de-Calais (Lille)
5e Groupement de gendarmerie mobile Arras – 4 escadrons
EGM 1/5 Arras
EGM 2/5 Le Quesnoy puis Villeneuve-d'Ascq (à partir de 1977)
EGM 3/5 Calais
EGM 4/5 Valenciennes
Circonscription Régionale de Gendarmerie Picardie (Amiens)
6e Groupement de gendarmerie mobile à Saint-Quentin – 6 escadrons
Groupe I/6 Saint-Quentin
EGM 1/6 Saint-Quentin
EGM 2/6 Hirson
EGM 3/6 Chauny
Groupe II/6 Noyon
EGM 4/6 Noyon
EGM 5/6 Creil
EGM 6/6 Abbeville
Circonscription Régionale de Gendarmerie Haute-Normandie (Rouen)
7e Groupement de gendarmerie mobile à Mont-Saint-Aignan – 2 escadrons
EGM 1/7 Mont-Saint-Aignan
EGM 2/7 Le Havre
3e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Rennes)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Bretagne (Rennes)
8e Groupement de gendarmerie mobile Saint Malo – 5 escadrons
EGM 1/8 Saint Malo
EGM 2/8 Vitré
EGM 3/8 Pontivy
EGM 4/8 Brest
EGM 5/8 Vannes(*)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Basse-Normandie (Caen)
9e Groupement de gendarmerie mobile à Argentan – 3 escadrons
EGM 1/9 Argentan
EGM 2/9 Argentan
EGM 3/9 Aunay-sur-Odon
Circonscription Régionale de Gendarmerie Pays de Loire (Nantes)
10e Groupement de gendarmerie mobile à Nantes – 6 escadrons
Groupe I/10 Nantes
EGM 1/10 Nantes
EGM 3/10 Luçon
EGM 6/10 Saint-Nazaire(*)
Groupe II/10 Ancenis
EGM 2/10 Ancenis
EGM 4/10 Mamers
EGM 5/10 Mayenne
4e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Bordeaux)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Aquitaine (Bordeaux)
11e Groupement de gendarmerie mobile Bordeaux – 10 escadrons
Groupe I/11 Marmande
EGM 1/11 Marmande
EGM 4/11 Périgueux
EGM 5/11 Bergerac puis Bouliac (à partir de 1973)
EGM 6/11 La Réole
EGM 10/11 Bordeaux(*)
Groupe II/11 Mont-de-Marsan
EGM 2/11 Bayonne
EGM 3/11 Biscarosse
EGM 7/11 Mont-de-Marsan(*)
EGM 8/11 Mont-de-Marsan(*)
EGM 9/11 Mont-de-Marsan(*)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Poitou (Poitiers)
12e Groupement de gendarmerie mobile à Niort – 2 escadrons
EGM 1/12 Niort
EGM 2/12 Châtellerault
Circonscription Régionale de Gendarmerie Limousin (Limoges)
13e Groupement de gendarmerie mobile à Limoges – 2 escadrons
EGM 1/13 Limoges
EGM 2/13 Bellac
Circonscription Régionale de Gendarmerie Midi-Pyrénées (Toulouse)
14e Groupement de gendarmerie mobile à Toulouse – 5 escadrons
EGM 1/14 Toulouse
EGM 2/14 Toulouse
EGM 3/14 Mirande
EGM 4/14 Pamiers
EGM 5/14 Saint-Gaudens
5e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Lyon)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Rhône-Alpes (Lyon)
15e Groupement de gendarmerie mobile à Lyon-Bron – 10 escadrons
Groupe I/15 Lyon-Bron
EGM 1/15 Lyon-Bron
EGM 2/15 Lyon-Bron
EGM 3/15 Roanne
EGM 4/15 Belley
Groupe II/15 Chambéry
EGM 5/15 Chambéry
EGM 6/15 Annecy
EGM 7/15 Pontcharra-sur-Breda
EGM 8/15 Bourgoin-Jallieu
EGM 9/15 Romans-sur-Isère
EGM 10/15 Grenoble(*)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Auvergne (Clermont-Ferrand)
16e Groupement de gendarmerie mobile à Clermont-Ferrand – 2 escadrons
EGM 1/16 Moulins
EGM 2/16 Aurillac(*)
6e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Metz)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Lorraine (Metz)
17e Groupement de gendarmerie mobile à Metz – 8 escadrons
Groupe I/17 Verdun
EGM 1/17 Verdun
EGM 2/17 Stenay
EGM 3/17 Saint-Mihiel
EGM 4/17 Revigny-sur-Ornain
Groupe II/17 Thionville
EGM 5/17 Thionville
EGM 6/17 Longeville-lès-St-Avold
EGM 7/17 Sarreguemines
EGM 8/17 Baccarat
Circonscription Régionale de Gendarmerie Alsace (Strasbourg)
18e Groupement de gendarmerie mobile à Strasbourg – 4 escadrons
EGM 1/18 Strasbourg
EGM 2/18 Wissembourg
EGM 3/18 Sélestat
EGM 4/18 Ferrette
Circonscription Régionale de Gendarmerie Champagne-Ardenne (Châlons-sur-Marne)
19e Groupement de gendarmerie mobile à Chaumont – 4 escadrons
EGM 1/19 Chaumont
EGM 2/19 Langres
EGM 3/19 Reims
EGM 4/19 Vouziers
Circonscription Régionale de Gendarmerie Bourgogne (Dijon)
20e Groupement de gendarmerie mobile à Decize – 5 escadrons
EGM 1/20 Decize
EGM 2/20 Beaune
EGM 3/20 Villeneuve-sur-Yonne
EGM 4/20 Dijon-Chenove(*)
EGM 5/20 Mâcon(*)
EGM 6/20 Dijon(*)
Circonscription Régionale de Gendarmerie Franche-Comté (Besançon)
21e Groupement de gendarmerie mobile à Dole – 4 escadrons
EGM 1/21 Dole
EGM 2/21 Héricourt
EGM 3/21 Belfort
EGM 4/21 Besançon(*)
7e Commandement Régional de la Gendarmerie Nationale (Marseille)[25]
Circonscription Régionale de Gendarmerie Provence-Alpes-Côte d’Azur (Marseille)
22e Groupement de gendarmerie mobile à Hyères – 9 escadrons
Groupe I/22 Hyères
EGM 1/22 Marseille
EGM 2/22 Marseille
EGM 3/22 Hyères
EGM 4/22 Hyères
EGM 5/22 Orange
Groupe II/17 Grasse
EGM 6/22 Grasse
EGM 7/22 Antibes
EGM 8/22 Digne
EGM 9/22 Gap
Circonscription Régionale de Gendarmerie Languedoc-Roussillon (Montpellier)
23e Groupement de gendarmerie mobile à Montpellier – 4 escadrons
EGM 1/23 Narbonne
EGM 2/23 Lodève
EGM 3/23 Perpignan
EGM 4/23 Nîmes*
24e Groupement de gendarmerie mobile à Ajaccio - 1 escadron
EGM 1/24 Ajaccio
Organisation de 1945 à 1966
Organisation des légions de la Garde Républicaine au (circulaire du 24 mai 1945[28],[29])
1re Légion de Garde Républicaine de Lyon
2e Légion de Garde Républicaine de Marseille
3e Légion de Garde Républicaine de Saint-Quentin
4e Légion de Garde Républicaine de Nancy
5e Légion de Garde Républicaine de Limoges
6e Légion de Garde Républicaine de Toulouse
22e Légion de Garde Républicaine de Arcueil
23e Légion de Garde Républicaine de Courbevoie
24e Légion de Garde Républicaine de Drancy
Organisation des légions de la Garde Républicaine au (circulaire du 13 avril 1946).
Le décret du 18 février 1946 partagea la métropole en dix régions militaires : 9 en métropole et 1 en Algérie. En conséquence les légions de gendarmerie et de garde républicaine changèrent de numérotation, se calquant sur celle des nouvelles régions militaires. En 1954, la Garde Républicaine prend l'appellation de Gendarmerie Mobile. L'ensemble des légions sont renommées.
1re Légion de Garde Républicaine de Arcueil
1re Légionbis de la Garde Républicaine de Plessis-Robinson
Avant-guerre : pelotons mobiles puis garde républicaine mobile
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Notes et références
↑L'organisation des Compagnies républicaines de sécurité (CRS) de la Police nationale est différente : en effet il existe une direction centrale des CRS (DCCRS) au sein de la Direction générale de la Police nationale (DGPN).Décret n°2003-952 du 3 octobre 2003 relatif à l'organisation des compagnies républicaines de sécurité., (lire en ligne).
↑ a et bLe nombre total d'escadrons de marche a été porté à 116 entre 2015 et 2024. Un escadron avait été créé à la suite des attentats de 2015, sept autres ont été créés en 2023 et 2024
↑ ab et cEn général, dans les forces armées françaises, une unité (régiment, bataillon etc.) est dite « de marche » lorsqu'elle est constituée temporairement, souvent à partir d'éléments divers n'appartenant pas à la même formation organique, pour accomplir une mission particulière pendant une période donnée. Dans la Gendarmerie, le terme est également utilisé pour distinguer les unités tactiques des unités de soutien (escadron de marche vs escadron des services ; peloton de marche vs peloton hors rang etc.). De nos jours, pratiquement tous les escadrons de gendarmerie mobile sont des escadrons de marche – à l’exception de quelques escadrons de la région parisienne qui assurent des missions de sécurité et de soutien. Ces dernières unités ne se déplacent pas et ne sont pas engagées au maintien de l’ordre comme les escadrons de marche.
↑ En janvier 2020, c'est le cas des deux groupements implantés en région parisienne – voir par exemple Journal officiel de la République française (JORF) Décret du portant nominations dans la première section des officiers généraux. ://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do;jsessionid=16B812A906625EC73F935A4C733F447A.tplgfr25s_2?cidTexte=JORFTEXT000039638781&dateTexte=&oldAction=rechJO&categorieLien=id&idJO=JORFCONT000039637156
↑ abc et dEncyclopédie de la Gendarmerie Nationale, tome III, Éditions SPE Barthelemy Paris 2006. (ISBN2-912838-21-5) p. 145-160
↑Cette appellation a remplacé celle de Sous-Groupement Opérationnel de maintien de l'ordre (SGOMO) qui était auparavant employée.
↑Histoire de la Gendarmerie mobile d'Ile-de-France, volume I, Éditions SPE-Barthelemy, Paris, 2007, (ISBN2-912838-31-2)
↑Les deux derniers groupes d'escadrons (au sein du groupement blindé de gendarmerie mobile) ont été dissous au début des années 2000.
↑Source : Bulletins Officiel du Ministère de l'intérieur (BOMI) - Années 2010-2012
↑Rapport no 2794 de l'Assemblée Nationale fait au nom de la commission d'enquête chargée d’établir un état des lieux et de faire des propositions en matière de missions et de modalités du maintien de l’ordre républicain, dans un contexte de respect des libertés publiques et du droit de manifestation, ainsi que de protection des personnes et des biens », du
↑Les personnels des antennes implantées outre-mer proviennent pour la plupart de la gendarmerie mobile ou de la garde républicaine mais portent les galons blancs (argentés) de la gendarmerie d'outre-mer.
↑Ce sont les régions de Gendarmerie implantées au siège de l'une des sept zones de défense et de sécurité de France métropolitaine
↑Cette structure quaternaire — similaire à celle des Compagnies républicaines de sécurité de la Police nationale (CRS) — a été adoptée depuis le début des années 2000 afin de favoriser la modularité et la « sécabilité » des escadrons sur le terrain. Auparavant, les escadrons comptaient un peloton hors rang et trois pelotons de marche.
↑C'est-à-dire tous les escadrons à l’exception de quelques escadrons de la région parisienne qui assurent des missions de sécurité et de soutien. Ces dernières unités ne se déplacent pas et ne sont pas engagées au maintien de l’ordre comme les escadrons de marche.
↑Un escadron porté utilise des camions et autres véhicules tous chemins pour ses missions militaires mais ne dispose pas de véhicules blindés.
↑La gendarmerie a également acquis auprès de l’armée de terre 18 Véhicules de l’Avant Blindé (VAB) pour emploi en Afghanistan. Ces véhicules ont été rapatriés à Satory. Certains d'entre eux ont par la suite été redéployés en Nouvelle Calédonie
↑Dix escadrons en 2015 : les EGM 33/2 (Pamiers), 34/2 (Saint-Gaudens), 35/2 (Tarbes), 21/5 (Chambéry), 22/5 (Annecy), 23/5 (Pontcharra), 24/5 (Grenoble), 25/7 (Saint-Étienne-lès-Remiremont), 25/6 (Digne-les-Bains) et 26/6 (Gap). Dans certains de ces escadrons, les personnels qualifiés « montagne » sont regroupés au sein d'un même peloton. Dans les autres, ils sont répartis dans les différents pelotons de l'unité.
↑Configuration « alpha » (quatre pelotons) ou « bravo » (trois pelotons). Voir l'annexe 2 du « Rapport n°2794 de l'Assemblée Nationale fait au nom de la commission d'enquête chargée d’établir un état des lieux et de faire des propositions en matière de missions et de modalités du maintien de l’ordre républicain, dans un contexte de respect des libertés publiques et du droit de manifestation, ainsi que de protection des personnes et des biens », du 21 mai 2015, http://www.assemblee-nationale.fr/14/rap-enq/r2794.asp#P250_57845
↑À noter que le dernier escadron créé en 2016 au sein du groupement II/1 est le 10e escadron de marche de ce groupement et a, en conséquence, pris la numérotation inhabituelle de 20/1.
↑Cette appellation a remplacé celles de Sous-Groupement Opérationnel de maintien de l'ordre (SGOMO) qui était auparavant employée.
↑ a et b La Gendarmerie mobile d'hier et de demain - Gend info n°416 p 19
↑Collectif, Histoire de la Gendarmerie mobile d'Ile-de-France, Volume II, Éditions SPE-Barthelemy, Paris, 2007.
↑ a et b Il existe également un escadron à Ajaccio, créé le 01/12/1969 et dissous en 1998. Cet escadron particulier, car il ne se déplace pratiquement jamais en dehors de la Corse, porte successivement les désignations d'EGM 1/24 entre 1969 et 1991 puis d'EGM 31/6 entre 1991 et 1998. Sa dissolution permet la création le 01/06/1998 d'un groupe de pelotons de sécurité (GPS) qui sera lui-même dissous le 05/05/1999 à la suite de l'Affaire des paillotes. Source : Rapport 69 (1999-2000)de la commission d'enquête du Sénat sur la Sécurité en Corse remis le 10 novembre 1999.
↑Sources : Collectif Histoire de la Gendarmerie Mobile d'Île-de-France, Éditions SPE-Barthelemy, Paris, 2006 et Thierry Forest La Gendarmerie Mobile à l'épreuve de mai 1968, Service Historique de la Défense, 2007
↑Source : Thierry Forest La Gendarmerie Mobile à l'épreuve de mai 1968, op. cit.
This article is about Chicago Landmarks designated by the city government. For National Register places in Chicago, see National Register of Historic Places listings in Chicago. Glessner House, designated on October 14, 1970, was one of the first official Chicago Landmarks. Night view of the top of The Chicago Board of Trade Building at 141 West Jackson, an address that has twice housed Chicago's tallest building Chicago Landmark is a designation by the Mayor and the City Council of Chicago for …
Bagian dari seri tentangBuddhisme SejarahPenyebaran Sejarah Garis waktu Sidang Buddhis Jalur Sutra Benua Asia Tenggara Asia Timur Asia Tengah Timur Tengah Dunia Barat Australia Oseania Amerika Eropa Afrika Populasi signifikan Tiongkok Thailand Jepang Myanmar Sri Lanka Vietnam Kamboja Korea Taiwan India Malaysia Laos Indonesia Amerika Serikat Singapura AliranTradisi Buddhisme prasektarian Aliran Buddhis awal Mahāsāṃghika Sthaviravāda Aliran kontemporer Theravāda Mahāyāna Vajrayāna Konsen…
Mirza Hameedullah Beg Kepala Hakim India 15Masa jabatan29 Januari 1977 – 21 Februari 1978Ditunjuk olehFakhruddin Ali Ahmed PendahuluA. N. RayPenggantiY. V. Chandrachud Informasi pribadiLahir(1913-02-22)22 Februari 1913Lucknow, India BritaniaMeninggal19 November 1988(1988-11-19) (umur 75)Sunting kotak info • L • B Mirza Hameedullah Beg (M. H. Beg) (22 Februari 1913 – 19 November 1988[1]) adalah Kepala Hakim India ke-15, yang menjabat dari …
American politician John Joseph O'Neill, 1892 portrait John Joseph O'Neill (June 25, 1846 – February 19, 1898) was a U.S. Representative from Missouri. Born in St. Louis, Missouri, O'Neill attended the common schools. He studied law. He was admitted to the bar in 1870 and commenced practice in St. Louis. He engaged in the manufacture of gold pens. He served as member of the State house of representatives from 1872 to 1878. He served as member of the municipal assembly from 1879 to 1881. O'Neil…
Lieutenant GeneralB C NandaPVSM, AVSM7th General Officer Commanding-in-Chief, Northern Command Personal detailsBorn(1931-05-12)12 May 1931Madikeri, KodaguDied12 December 2018(2018-12-12) (aged 87)MadikeriRelationsField Marshal Cariappa (Uncle)Awards Param Vishisht Seva Medal Ati Vishisht Seva MedalNicknameBCMilitary serviceAllegiance IndiaBranch/service Indian ArmyYears of service1951-1989[1]Rank Lieutenant GeneralUnitMahar RegimentCommandsNorthern CommandII Corps (In…
Piala Generalísimo 1939Negara SpanyolJumlah peserta10Juara bertahanMadridJuaraSevilla(gelar ke-2)Tempat keduaRacing de FerrolJumlah pertandingan23Pencetak gol terbanyak Francisco Iriondo(Deportivo Alavés)(8 gol)← 1936 1940 → Piala Generalísimo 1939 adalah edisi ke-35 dari penyelenggaraan Piala Raja Spanyol, turnamen sepak bola di Spanyol dengan sistem piala. Edisi ini dimenangkan oleh Sevilla setelah mengalahkan Racing de Ferrol pada pertandingan final dengan skor 6–2. Final Artike…
This list is incomplete; you can help by adding missing items. (March 2014) This is a list of museums in Saudi Arabia. Museums in Saudi Arabia Nasseef House, Saudi Arabia National Museum of Saudi Arabia Al Bassam Heritage House Clock Tower Museum Dar Al Madinah Museum Darat Safeya Bizagr Hafouf National Museum Hejaz Railway Museum Humane Heritage Museum Jadeah Museum Jeddah Regional Museum of Archaeology and Ethnography Al-Jouf Museum of Archaeology and Folklore King Abdulaziz Historical Center …
Branch of the Mandarin Chinese language family For the Sichuanese variant of Standard Mandarin, see Sichuanese Standard Chinese. For the extinct Sinitic language formerly spoken in what is now Sichuan and Chongqing, also known as Old Sichuanese, see Ba-Shu Chinese. Sichuan language redirects here. For the southern African Bantu language, see Tswana language. This article needs additional citations for verification. Please help improve this article by adding citations to reliable sources. Unsourc…
Bremen Vier Présentation Pays Allemagne Siège social Brême Propriétaire Radio Bremen Langue Allemand Statut Radio publique régionale Site web www.radiobremen.de/bremenvier Historique Création 1er décembre 1986 Diffusion hertzienne GO Non AM Oui FM Oui RDS Oui DAB+ Oui Satellite Oui Diffusion câble et Internet Câble Oui IPTV Oui Streaming Oui Podcasting Oui modifier Bremen Vier est une station de radio de la Radio Bremen. Histoi…
River in Louisiana, United StatesRigoletsThe abandoned West Rigolets Light in 2004. It was destroyed by Hurricane Katrina in 2005.NOAA Coast Survey nautical map 2016LocationCountryUnited StatesStateLouisianaPhysical characteristicsSourceLake Pontchartrain • coordinates30°10′40″N 89°44′40″W / 30.177778°N 89.744444°W / 30.177778; -89.744444 MouthLake Borgne • coordinates30°09′16″N 89°37′31″W / 30.154…
Borough in Estonia Small borough in Saare County, EstoniaValjalasmall boroughSt. Martin's Church in ValjalaValjalaLocation in EstoniaCoordinates: 58°24′29″N 22°47′18″E / 58.408055555556°N 22.788333333333°E / 58.408055555556; 22.788333333333CountryEstoniaCountySaare CountyMunicipalitySaaremaa ParishPopulation (2011 Census[1]) • Total410 Valjala is a small borough (alevik) in Saare County, Estonia, on the island of Saaremaa. It is the ad…
This article needs additional citations for verification. Please help improve this article by adding citations to reliable sources. Unsourced material may be challenged and removed.Find sources: Woburn Memorial High School – news · newspapers · books · scholar · JSTOR (February 2019) (Learn how and when to remove this message) Public high school in Woburn, Massachusetts, United StatesWoburn Memorial High SchoolAddress88 Montvale AvenueWoburn, Massachusett…
Layout of the Autodromo Nazionale Monza The 2007 FIA GT Monza 2 Hours was the fourth round of the 2007 FIA GT Championship season. It took place at Autodromo Nazionale Monza on June 24, 2007. Official results Class winners in bold. Cars failing to complete 75% of winner's distance marked as Not Classified (NC). Cars with a C under their class are running in the Citation Cup, with the winner marked in bold italics. Pos Class No Team Drivers Chassis Tyre Laps Engine 1 GT1 33 Jetalliance Racing Kar…
Town in Victoria, AustraliaYackandandahVictoriaHigh Street, recorded on the Register of the National EstateYackandandahCoordinates36°18′47″S 146°50′21″E / 36.31306°S 146.83917°E / -36.31306; 146.83917Population2,008 (2021 census)[1]Postcode(s)3749Location 313 km (194 mi) NE of Melbourne 28 km (17 mi) S of Wodonga 22 km (14 mi) E of Beechworth LGA(s)Shire of IndigoState electorate(s)BenambraFederal division(s)Indi Yack…
Clade of birds PangalliformesTemporal range: Late Cretaceous-Holocene, 85–0 Ma PreꞒ Ꞓ O S D C P T J K Pg N Male grey junglefowl, Gallus sonneratii Scientific classification Domain: Eukaryota Kingdom: Animalia Phylum: Chordata Class: Aves Superorder: Galloanserae Clade: PangalliformesClarke, 2004 Subgroups †Austinornis †Gallinuloididae †Paraortygidae †Quercymegapodiidae †Sylviornithidae ?†Dromornithidae Galliformes Synonyms Panphasianiformes Gallimorphae Phasianimorphae Pan…
San Francisco Bay Area Film Critics Circle Award for Best ActorThe 2023 recipient: Jeffrey WrightAwarded forBest Performance by an Actor in a Leading RoleCountryUnited StatesPresented bySan Francisco Bay Area Film Critics CircleFirst awardedMichael Caine The Quiet American (2002)Currently held byJeffrey Wright American Fiction (2023)Websitesfbafcc.com The San Francisco Bay Area Film Critics Circle Award for Best Actor is an award given by the San Francisco Bay Area Film Critics Circle to honor a…
Study of the teaching and learning of chemistry Children mix chemicals in test tubes as part of a hands-on chemistry education program in Samara, Russia. Chemistry education (or chemical education) is the study of teaching and learning chemistry. It is one subset of STEM education or discipline-based education research (DBER).[1] Topics in chemistry education include understanding how students learn chemistry and determining the most efficient methods to teach chemistry. There is a const…
此條目需要补充更多来源。 (2021年7月4日)请协助補充多方面可靠来源以改善这篇条目,无法查证的内容可能會因為异议提出而被移除。致使用者:请搜索一下条目的标题(来源搜索:美国众议院 — 网页、新闻、书籍、学术、图像),以检查网络上是否存在该主题的更多可靠来源(判定指引)。 美國眾議院 United States House of Representatives第118届美国国会众议院徽章 众议院旗帜…