Il publie son premier livre en 1993. Il y dresse les portraits de ses collègues enseignants de primaire, depuis le point de vue d'un élève. Durant les vingt années qu'il passe en école primaire, il collectionne les mots que lui adressent les parents d’élèves. Il les compile dans un livre, Mots d'excuse, publié en [2].
En 2011, un an après Mots d'excuse, sort Journal de bord d'un directeur d'école, dans lequel il raconte de multiples anecdotes professionnelles[3].
Il retrace son expérience de sapeur-pompier volontaire dans un ouvrage paru en 2012 : Chroniques d'un pompier volontaire.
Un deuxième tome consacré aux mots d'excuse sort en . L'ouvrage (Nouveaux mots d'excuse, les parents écrivent encore aux enseignants) contient également des mots de parents de collégiens[4].
L'année suivante paraît Recto-verso, (éditions Michel Lafon), qui recense ce que les parents pensent des professeurs et vice-versa. Suit, toujours en 2015, Nos chers petits[9], chez Flammarion, compilation de mots que des professeurs ont adressés aux parents d'élèves.
En 2016, il publie Pédagofreak, comprendre le jargon de l'Éducation nationale en s'amusant. Il y décrypte les termes propres au langage des « pédagogogistes » et propose des tests pour connaître son niveau en langage « pédagogogien »[10].
En 2017, il sort aux éditions du Cherche MidiQuand un proviseur se lâche : lettres aux parents d'élèves. Le livre rassemble des centaines de lettres que l'auteur a écrites aux parents d'élèves tout au long de ses quarante années dans l'Éducation nationale, à la suite de situations comiques ou tragiques vécues[11]. Il publie également avec Sandrine Chopin aux Éditions de l'Opportun,Secrets de palaces où il décrit l'envers du décor des établissements hôteliers de luxe.
En 2018, sa pièce, "La prof, la mère d'élève et le principal[12]" est jouée à plusieurs reprises.
En , il publie Un principal ne devrait pas dire ça (City éditions), dans lequel il décrit les coulisses d'un collège[13], puis change de registre en sortant Uber hits[14] (Éditions de l'Opportun) en collaboration avec Sandrine Chopin et Sophie Dammaretz, un livre qui raconte les tribulations d'un chauffeur Uber. Sa pièce, Éducation nationale, au secours tout va bien ![15] est jouée à plusieurs reprises.
En 2020, il témoigne d'un monde totalement différent dans Chasse à l'homme, coécrit avec S. Chopin et J. Calri (Max Milo Éditions). Le livre relate en effet des aventures vécues par des femmes adeptes des applications de rencontres. Il sort également Inspecteurs casse-couilles[16] (Éditions de l'Opportun), dans lequel il raconte les visites d'inspecteurs à des enseignants.
En 2021 paraît Requiem pour l'Education nationale[17] (Le Cherche midi), un pamphlet sur la gouvernance de l'Éducation nationale.
En 2022, l'ancien principal de collège sort Collégiens casse-couilles[18] (Éditions de l'Opportun), un florilège de perles et de punchlines de collégiens notées durant toute sa carrière, puis Sauve qui peut[19] (City éditions), un livre qui relate sa carrière de sapeur-pompier volontaire. Enfin, paraît le dernier tome du best-seller « Mots d'excuse » : Mots d'excuse, les parents écrivent toujours aux enseignants (Le Cherche midi).
En 2023, il publie Omerta dans l'Éducation nationale, les chefs d'établissement sortent du silence[20], un livre composé de témoignages anonymes de personnels de direction sur leurs conditions de travail et la manière dont ils sont traités par la hiérarchie, ainsi que les incidences de cette gestion humaine sur la sérénité des enseignants et la scolarité des élèves.
En 2024, sa pièce, L'âne est scolaire en salle des profs[21] est jouée à plusieurs reprises.
Publications
1993 : Mon école, ses maîtresses, ses maîtres (illustrations Laurent Alamercery)
2010 : Mots d'excuse, les parents écrivent aux enseignants (Bourin éditeur)
2011 : Journal de bord d'un directeur d'école (Bourin éditeur)
2012 : Chroniques d'un pompier volontaire (Bourin éditeur)
2013 : Nouveaux mots d'excuse, les parents écrivent encore aux enseignants (Bourin éditeur)