En 1942, il devient correspondant de guerre. Après cette expérience, il retourne en Grande-Bretagne pour se familiariser avec le milieu du cinéma. Il signe alors un contrat de cinq ans avec Arthur Rank[2], ce qui lui permet de jouer dans une dizaine de longs métrages, parmi lesquels Johnny Frenchman (1945), Against the Wind (1948), Sleeping Car to Trieste (1948), Madness of Heart (1948), Passeport pour Pimlico (1948), The Romantic Age (1949) et The Reluctant Widow (1950).
En 1970, il devient animateur de l'émission Bon voyage, à Télé-Métropole, mais il démissionne la même année. Il disparait ensuite pendant quelques années, où il vit en Australie et en Nouvelle-Zélande[4].
Lorsqu'il revient au Québec, il fait un retour comme animateur à CKVL, où il est renvoyé en raison de ses opinions[4].
Paul Dupuis décède dans un hôtel de Saint-Sauveur le 23 janvier 1976[2].
Filmographie sélective
1976: à la télévision de Radio Canada : L’océan de Marie-Claire Blais
↑Article du journal Le Soleil, édition du samedi 24 janvier 1976, page A9 : Le comédien Paul Dupuis est mort - "L'artiste du cinéma... Paul Dupuis a été trouvé mort dans une chambre d'hôtel de Saint-Sauveur, hier... qui était âgé de 62 ans..."
↑ ab et cAlexandre Carle, « Paul DUPUIS », sur www.lesgensducinema.com, (consulté le )
↑ a et b« La faiblesse de ses semblables l'agaçait : Paul Dupuis ne croyait ni à Dieu ni au Diable », La patrie : l'hebdo des canadiens-français, , p. 5 (lire en ligne)