La chanson parle du racisme, en prenant l'exemple d'une femme étrangère qui se fait critiquer par ses voisins. L'ensemble de la chanson est une succession de supposition à propos de la vie de cette femme, avec beaucoup de phrases interrogatives.
Le texte amène à réfléchir sur un phénomène que la société connaît, en abordant le sujet du point de vue des "locaux".
Version live
1991 : Inédit
En 1991, l'album Quelques choses de bizarres (81-91) fait paraître une version live datée de 1991. La chanson est alors reprise avec des arrangements hispanique et débute par de la guitare ainsi que des "Olé !" du public. Enfin, Jean-Jacques Goldman commence :
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, voici l'histoire triste mais exacte, de c'qui s'passe dans notre cher voisinage, simplement quand on a le malheur de ne pas ressembler à tout le monde.
Puis la chanson commence, toujours accompagnée des cris du public, et avec des sons hispaniques (trompettes etc...)
1992 : Sur Scène
En 1992, l'album live Sur scène fait paraître une version datée de 1992. On y retrouve exactement les mêmes arrangements que sur la version 1991 à très peu de choses. Jean-Jacques Goldman commence cette fois-ci en disant :
Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, voici l'histoire terrible et édifiante, de c'qui s'passe dans notre cher voisinage, quand on a le mauvais goût de ne pas ressembler à tout le monde.
Puis la chanson commence, toujours avec des arrangements très similaires à la version datée de 1991.
En réalité, les deux pistes sont extraite du même concert, mais enregistrée à deux dates différentes.
Autres utilisations de la chanson
La chanson, sort au même moment, en 1990, en France et au Royaume-Uni sous deux références différentes en K7, LP et CD
En 1991, la chanson est utilisée à but promotionnel sous format maxi 45 tours, K7 et CD 2 titres.
En 2000, la chanson fait l'objet d'un single pour la compilation Pluriel 90/96[1].