Les ressources naturelles traditionnelles des peuples de la région, comme le commerce des peaux de castors, sont aujourd'hui supplantées par celles des infrastructures et des commerces modernes. La réserve vit en partie du commerce du bois et de la pisciculture sur le fleuve Columbia et le lac Roosevelt, des retombées du barrage de Grand Coulée et de son lac de retenue, de ses trois casinos, et de la location de bateaux, et plus généralement du tourisme dans ses espaces naturels. Elle n'échappe pas pour autant aux maux endémiques des réserves amérindiennes, chômage, alcoolisme ou drogue[2].
Notes et références
↑(en) « My Tribal Area », sur www.census.gov (consulté le ).
↑ a et b« les Colville », sur www.peuplesamerindiens.com (consulté le )