En 1980, elle crée le Théâtre Phou, une compagnie privée qui donne naissance à plusieurs pièces théâtrales comme El Amal (1986), Saken Fi Hay Essaida (1989) et Bayaa El Hawa (1995). C'est grâce à ces pièces qu'elle réussit à décrocher le prix de la meilleure comédienne aux Journées théâtrales de Carthage en 1987, 1989 et 1995[1].
Raja Ben Ammar a par ailleurs co-fondé l'espace Mad'art à Carthage avec son époux, l'acteur et metteur en scène Moncef Sayem, pour former la future génération d'acteurs tunisiens[1].
Elle souffre de problèmes cardiaques lorsqu'elle décède dans la soirée du de complications à la suite d'une opération du cœur[4]. Elle est inhumée le lendemain à l'Ariana[5].