En durant la mobilisation générale, René Laporte est engagé comme secrétaire d'état-major puis est démobilisé en . Sous l’Occupation, réfugiés à Antibes, René Laporte et Léon Pierre-Quint poursuivent les publications des éditions Kra, frappées d’interdiction[4]. À Antibes, il s'installe au 3 place du Barri, voie désormais renommée rue René-Laporte. Les éditions Julliard publient ses romans en 1943 et il devient ami avec René Julliard. Durant cette période, il s'engage dans la Résistance intérieure française et il est chargé de surveiller la radio RMC, dirigée alors par la Wehrmacht. Après la Libération, il travaille de 1944 à comme inspecteur au Ministère de l'Information.
René Laporte meurt accidentellement le renversé par une voiture à Paris ; il décède durant la nuit à l'Hôpital Boucicaut d'un traumatisme crânien.
Le prix René-Laporte est un prix de poésie attribué de 1957 à 1964.
Œuvre
Littérature
1925 : Attitudes, poèmes, éditions des Cahiers Libres
1926 : Vive la vie, poèmes, éditions des Cahiers Libres
1927 : Corde au cou, poèmes, éditions des Cahiers Libres
1949 : Les Membres de la famille : Ma dernière volonté (tome 1), Chacun pour soi (tome 2), Le Château de sable (tome 3), Un air de jeunesse, (tome 4), éditions Julliard.
1949 : Les Petites Filles modèles, poèmes, douze lithographies originales de Kostia Terechkovitch, quatre vingt dix-neuf exemplaires numérotés, Éditions Wolfsberg, Zurich, 1949.
1954 : Poésie choisie, poèmes, éditions René Julliard posthume, précédé d'une Esquisse d'une description critique (et sentimentale) de René Laporte, poète par Claude Roy