Reporter et critique dramatique au quotidien Le Canada (1940-1941), puis critique d'art à La Presse (1941-1943), il entre ensuite à Radio-Canada comme rédacteur au Service de l'information (1943-1947). En 1947, il fonde la revue Architecture, bâtiment, construction. De retour à la Société d'Etat en 1949, il y occupe successivement les postes de directeur adjoint, puis de directeur des services de presse et d'information pour le Québec
En 1950 parait son premier roman, La fin des songes, qui obtient le prix David. Un second roman, Il suffit d'un jour, est publié en 1957.
L' œuvre de Robert Elie, où percent de constantes préoccupations humaines, montre le Citoyen en quêtes de solutions par la voie souvent difficile, car libre, du dialogue.
↑Extraits en partie de la biographie de l'auteur dans Dictionnaire des Oeuvres littéraires du Québec, Montréal, Fides, 1978, vol. 3, p. 393 et des Notes biographiques contenues dans le fonds Robert Elie.