Ses études en l'an 2000 sur le réchauffement climatique l'amènent à formuler l'hypothèse selon laquelle ce dernier pourrait se manifester préférentiellement par des hivers plus doux plutôt que par des étés plus chauds[3] et pense alors à l'époque que les effets sur les populations humaines seront limités[4].
Références
↑ a et bFaculty profile, University of Virginia, accessed 2012-09-28.