Administrateur en Guinée de 1937 à 1939, il fut directeur de la Fédération nationale des bâtiments et des travaux publics de 1940 à 1942[2].
Gouverneur de première classe de la France d'outre-mer, directeur des affaires économiques et du plan au ministère de la France d'outre-mer, ancien président de la commission d'étude et de coordination des plans de modernisation et d'équipement des territoires d'outremer au commissariat général au plan, avait été gouverneur du Gabon, de la Guinée, de la Haute-Volta et de la Côte française des Somalis, nommé haut commissaire de la République au Cameroun en 1954[3], directeur du Bureau minier de la France d'outre-mer[4].
↑« Le général de Gaulle visite les gisements de fer de Fort-Gouraud », Le Monde, (lire en ligne).
↑Jean-Paul Messina, Jaap van Slageren, Histoire du christianisme au Cameroun, Karthala Éditions, 2005, p. 185 lire sur Google Livres
↑Marc Michel, « Une décolonisation confisquée ? Perspectives sur la décolonisation du Cameroun sous tutelle de la France 1955-1960 », Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 86, n° 324-325, 1999, p. 236 [lire en ligne]
Richard A. Joseph, Le mouvement nationaliste au Cameroun: les origines sociales de l'UPC, Karthala Éditions, 1986, p. 257 lire sur Google Livres
Paul Pasteur, Être syndiqué(e) à l'ombre de la croix potencée : corporatisme, syndicalisme, résistance en Autriche, 1934-1938, Publications de l'Université de Rouen, 2002 lire sur Google Livres
Daniel Abwa, Commissaires et hauts-commissaires de la France au Cameroun (1916-1960), Presses universitaires de Yaoundé, 1998 lire sur Google Livres