Albert Hockenberry, jeune homme au caractère naïf et généreux, est un nouveau venu à Washington ; il vient rejoindre la compagnie de taxis d'Harold, un ami de son père, mort quelques années auparavant (tous deux étaient soldats durant la guerre du Vietnam). L'entreprise d'Harold, la District of Columbia Cab Company, réunissant des employés hétéroclites, turbulents et désinvoltes (à l'exception d'Ophelia qui considère ses collègues comme « des animaux »), est en mauvais état financier, soumise à la concurrence de la Emerald Cab Company et régulièrement dans le collimateur de l'inspecteur des transports. L'arrivée d'Albert, qui passe sa licence puis décide d'offrir ses économies pour rénover la compagnie, stimule l'ensemble des employés d'Harold. S'ensuit un coup de théâtre quand les deux enfants d'un diplomate sont enlevés, de même qu'Albert, par des malfrats qui exigent une rançon.
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Jim Carrey a auditionné pour le film. Le réalisateur et coscénariste Joel Schumacher l'a cependant refusé le jugeant paradoxalement trop talentueux pour un film choral[2].
D.C. Cab a reçu un accueil globalement négatif de la part des critiques. Le critique Roger Ebert lui attribue deux étoiles sur quatre[5], jugeant l'intrigue trop rudimentaire, mais loue néanmoins le caractère attachant de sa confusion débridée. Edward Sargent qui écrit dans The Washington Post estime que le film est très léger, fourmillant de gags faciles et parfois vulgaires[6]. Dans le journal local Washington City Paper, Ian Buckwalter explique que seuls les aficionados de Mr. T peuvent trouver un intérêt au film (bien que celui-ci n'y tienne en fait qu'un rôle mineur), tout en lui reconnaissant un attrait nostalgique, notamment pour les habitants de Washington ; il le compare à Les Tronches (Revenge of the Nerds) si ce film avait comporté des taxis[7].
Malgré ces critiques, le film a rapporté 16 134 627 $ sur le seul territoire des États-Unis, pour un budget estimé à 7 000 000 $[8].
Notes et références
↑ a et b« S.O.S. Taxi », sur encyclocine.com (consulté le ).