Simon Claude Grassin de GlatignySimon Claude Grassin de Glatigny
Simon Claude Grassin de Glatigny en uniforme des Arquebusiers
Simon Claude Grassin, seigneur de Glatigny, baptisé le à Épineau-les-Voves (Yonne), décédé le à Saint-Cyr-la-Rivière (Essonne) était un homme de guerre français[1]. BiographieFils de Jacques Charles Grassin et de Suzanne Sourdot, Simon Claude Grassin est baptisé le en l'église de la Nativité du Sauveur de Épineau-les-Voves. Il embrasse le métier des armes en servant dans le régiment de Picardie ou il était capitaine des grenadiers du régiment en 1742, ou pendant l'hiver 1742-1743, il commence à fonder sa réputation comme chef de partisans, en faisant la petite guerre avec beaucoup de succès pour faciliter l'arrivée des vivres en Bavière, durant la guerre de Succession d'Autriche[2]. Devant les succès de cette troupe, il est autorisé par ordonnance royale du [3] de créer et lever un corps de troupe français appelé arquebusiers de Grassin, qui continua à servir très utilement durant toute cette guerre. Le il est fait brigadier des armées du Roi et maréchal de camp . Après le traité d'Aix-la-Chapelle, qui met fin à la guerre, son régiment étant licencié à la fin de 1748, il est fait chevalier de l’Ordre de Saint-Louis, Lieutenant pour Sa Majesté et commandant des ville et citadelle de Saint-Tropez. Généalogie
Jacques Charles Grassin[4], baptisé le en l’église Saint-Thibault de Joigny, seigneur de Glatigny, du Bouzay... fut capitaine au régiment de Picardie puis des grenadiers du régiment de Normandie. Il est fait chevalier de l'Ordre de Saint-Louis et commandant du fort François de Berghes-Saint-Winock. Il décède en [5].
Il épousa en secondes noces, le , Marguerite Geneviève Françoise de Vion de Tessancourt dame de Maisoncelles et de Thionville, fille de feu René de Vion[7], seigneur de Tessancourt de Maisoncelle et de Marie Marguerite de La Salle avec laquelle il eut[5] :
Articles connexesNotes et références
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