Stéphane Distinguin est un entrepreneur français et militant associatif[Quoi ?] dans le domaine des industries numériques, culturelles et créatives[Quoi ?], né le à Noisy-le-Grand[1].
Il est le fondateur et président de l’agence d’innovation internationale[Quoi ?]Fabernovel[2].
Rôle dans la scène tech française
Diplômé d’ESCP Europe en 1997[3], Stéphane Distinguin rejoint la même année le cabinet Deloitte[3] et participe en 1999 à la création d’Up&Up, fonds d’investissement “early stage”.
Il crée en 2003 l’agence d’innovation Fabernovel[4],[5], aujourd’hui devenue internationale et spécialisée dans la création de produits et de services numériques.
Avec cette société, Stéphane Distinguin lance aussi des start-up telles que Digitick[6] ou Bureaux à Partager[7] avec Clément Alteresco[8], et Urban Campus[9].
De 2004 à 2010, Stéphane Distinguin a été président de Silicon Sentier[10], aujourd’hui Numa[11]. Il est à l’origine de La Cantine[12], premier coworking en Europe et lieu d’accueil, d’échange et de partage pour les acteurs de l’écosystème parisien et Le Camping, un des premiers accélérateurs de start-up au monde.
De par ses fonctions, il a participé au lancement en France de nouveaux formats d’événements et rencontres tels que les BarCamps, les MobileMondays, les CleanTuesdays, TEDx Paris, ou encore les API days[13].
De 2013 à 2019[15], Stéphane Distinguin est président de Cap Digital[16], pôle de compétitivité et de transformation numérique réunissant plus de 1 000 entreprises et laboratoires.
En mai 2017, Stéphane Distinguin signe aux côtés de huit entrepreneurs européens, une pétition adressée à la Commission européenne[20] afin de lutter contre les pratiques anti concurrentielles des plateformes. Cette lettre arrive quelques jours avant le bilan mi-mandat de la Commission Européenne en faveur du « marché numérique unique ».
Membre du Conseil d’administration de la Cité de la céramique – Sèvres & Limoges (depuis 2010)[24]
De 2018 à 2023, Stéphane Distinguin a été président de l'Association ESCP Europe Alumni[25].
En 2020, Stéphane propose l'idée de vendre la Joconde pour sauver la culture en temps de crise[26],[27], qu'il détaille deux ans plus tard dans un essai de 240 pages[28],[29].
En 2021, il est nommé pour représenter la France pour le choix du design des futurs billets de l’Euro[30].
Contribution éditoriale
Auteur du livre Et si on vendait la Joconde ? Plaidoyer pour une relance par l’économie de la création aux éditions JC Lattès[28]