À Sacramento en 1994, on diagnostique à Ilonka un cancer de la thyroïde quelques mois avant ses 18 ans. Elle a alors d'étranges visions d'horreur. En phase terminale, elle décide d'intégrer le centre de soins palliatifs de Brightcliffe, malgré les réticences de son père adoptif. Cet hospice est dirigé par une médecin plutôt étrange, le Dr Georgina Stanton.
Peu après son arrivée, Ilonka découvre que sept autres pensionnaires du centre participent au Midnight Club : ils se retrouvent dans la bibliothèque toutes les nuits, vers minuit, pour se raconter des histoires effrayantes malgré le couvre-feu en vigueur dans l'établissement. Au sein du club, une promesse est alors faite : celui qui mourra le premier devra, s'il le peut, envoyer un signe aux autres.
Henry Thomas : Freedom Jack, un personnage de l'histoire du Midnight Club de Natsuki.
Alex Essoe : Poppy Corn, un personnage de l'histoire du Midnight Club de Natsuki.
Rahul Kohli : Vincent, un personnage de l'histoire du Midnight Club d'Amesh.
Michael Trucco : Frederick, un personnage de l'histoire du Midnight Club d'Amesh.
Source et légende : Version française (VF) sur RS Doublage[3] et le carton de doublage français.
Production
Développement
En , il a été annoncé qu'une adaptation du roman pour jeunes adultes The Midnight Club de Christopher Pike serait créée pour Netflix par Mike Flanagan et Leah Fong[4].
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La première saison de la série reçoit des critiques plutôt positives aux États-Unis. Sur le site agrégateur de critiques Rotten Tomatoes, elle recueille 89 % de critiques positives sur la base de 53 critiques collectées, lui permettant d'obtenir le statut « frais », certificat de qualité du site[8].
Sur le site web Internet Movie Database (IMDb), la série recense à ce jour 17 267 notes, avec une note moyenne de 6.6⁄10.
Le site AlloCiné lui attribue une note moyenne de 3⁄5 pour 204 notes, dont 30 critiques, tandis que la presse lui attribue une note moyenne de 2.9⁄5 pour 8 critiques.
Record
Le premier épisode de la série, Le Dernier Chapitre, détient le record du plus grand nombre de « jumpscares », au nombre de 21[9].