Elle est cadre supérieure dans une PME de l’industrie de l’éclairage pendant 17 ans, puis elle crée son entreprise dans l'éclairage intérieur. Elle a trois enfants[2].
Elle est référente du mouvement En Marche en Loire-Atlantique d' à [3].
À l'Assemblée nationale, elle est d'abord membre de la commission des Affaires économiques. Elle y officie comme coordinatrice du groupe LREM jusqu'en , date à laquelle elle démissionne, selon L'Express« pour se consacrer à ses dossiers et à sa circonscription »[4]. De son côté, Contexte, citant « plusieurs sources au sein du groupe LRM », indique qu'elle et Aurélien Taché, qui a démissionné du même poste à la même période, « ont en réalité été débarqués car ils ne donnaient pas satisfaction »[5].
Au début de la mandature, elle lance, avec Olivia Grégoire, un groupe informel d'une cinquantaine de députés entrepreneurs, visant à débattre sur l'entreprise, notamment en vue de l'examen du projet de loi Pacte[6]. Elle milite pour le « business au féminin » et le « made in France »[7].
Concernant le dossier d'aéroport du Grand Ouest, Valérie Oppelt soutient le dialogue et elle est favorable à une évacuation de la ZAD[8]. En , elle se prononce clairement pour le transfert de l'aéroport[9].
En , elle s'abstient lors du vote à l'Assemblée sur la ratification de l'Accord économique et commercial global, dit CETA : si elle juge « indispensable de négocier avec le Canada », elle souligne « des divergences dans notre approche environnementale et sanitaire, des divergences relevées en particulier par des ONG et de nombreux agriculteurs »[10].
Aux législatives de juin 2024, à nouveau candidate, elle est à nouveau battue cette fois au premier tour par Andy Kerbrat, candidat du Nouveau Front Populaire[13].