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L'élection présidentielle chilienne de 2025 se déroulera le afin d'élire pour quatre ans le président de la République du Chili. Des élections parlementaires et régionales seront organisées simultanément. Un deuxième tour éventuel aura lieu le suivant.
Le président de la République est élu au scrutin uninominal majoritaire à deux tours pour un mandat de quatre ans non renouvelable de manière consécutive. Est élu le candidat qui recueille la majorité absolue des votes valides au premier tour, organisé le troisième dimanche de novembre de la quatrième année du mandat présidentiel en cours. À défaut, les deux candidats arrivés en tête au premier tour s'affrontent lors d'un second organisé le quatrième dimanche suivant le premier, et celui recueillant le plus de voix est déclaré élu[1].
Candidatures
Période pré-électorale
Candidatures de la coalition présidentielle
Depuis l'élection de Gabriel Boric en 2021, un espoir de transformation sociale et économique du pays s'est levé. Cependant, la large victoire du « non » au référendum constitutionnel de 2022 et l'impopularité de Boric rendent incertain le maintien de la gauche au pouvoir après 2025[2]. Des candidatures sont évoquées :
Approbation dignité, formée en 2021 comme coalition entre le Parti communiste et le Front large (ce dernier converti en parti politique en 2024), prévoit une primaire élargie pour définir son potentiel candidat ou candidate. Jusqu'à ce moment, la candidate en meilleure position dans les enquêtes est la ministre Camila Vallejo, qui a décidé de ne pas se prononcer pour le moment[3]. D'autres noms sont évoqués comme celui du communiste Daniel Jadue[4] ou de Tomás Vodanovic.
Socialisme démocratique, formé en 2022 comme coalition de partis politiques soutenant le gouvernement de Gabriel Boric. Trois possibles candidatures se détachent pour une future primaire : celle de l'ancienne présidente Michelle Bachelet, la ministre Carolina Tohá[5] et le professeur Francisco Vidal[6]. De plus, le parti se montre prêt à élargir la coalition présidentielle vers le Parti démocrate-chrétien[7].
Candidatures de l'opposition
Depuis les élections présidentielles du 2021, où José Antonio Kast a perdu, ils ont entamé une intense discussion pour choisir un candidat à la présidentielle. Le triomphe électoral reçu après le référendum du 2022 a stimulé deux grandes candidatures dans les deux majeurs secteurs de l'opposition :
Chile Vamos, coalition formée en 2016 pour réunir à des partis politiques de centre droite, a présenté une disyuntiva intéressante. À partir du 2022, la gestion de Evelyn Matthei en la comuna d'Ordonnance l'a porté à être la candidate meilleure positionnée dans les enquêtes, à ce que se lui a ajouté une revalorisation de Sebastián Piñera, les porterait à avoir un cisma dans le secteur[8]. Cependant, le décès du exmandatario en février du 2024, a aplani le chemin à Matthei dans le secteur, à l'attente d'une primaire électorale[9].
Parti républicain, Formé aussi bien qu'une faction une plus conservatrice dirigée par Kast. Depuis sa défaite en 2021[10]. Cependant, une série d'erreurs dans la campagne du référendum constitutionnel du 2023, a provoqué sa chute dans les sondages[11].
La droite s'est divisée après le référendum constitutionnel du 2023. Chile Vamos et le Parti républicain ont appelé à voter pour, bien qu'un secteur du PR dominé par le sénateur Rojo Edwards et la columnista indépendante Teresa Marinovic ont appelé à voter contre[12]. Ce secteur politique, après le triomphe du non, y aurait pris la décision de présenter une candidature présidentielle, celle du député Johannes Kaiser[13], puis celle de l'avocate Marcela Cubillos[14].
Candidatures indépendantes
La plupart des candidatures indépendantes ils se basent sur n'être alignées entre le oficialismo et l'opposition actuelle au gouvernement de Gabriel Boric. D'une part, depuis la gauche, ils ont sonné les noms du cinéaste Marco Enríquez-Ominami[15] et le professeur Eduardo Artés. En des groupes de droite, s'ont rumoreado avec la journaliste Pamela Jiles, l'ingénieur Franco Parisi, le député Gaspar Rivas,le maire Rodolfo Carter(ce dernier, proche au Chili Allons)[16],[17]. Par l'extrême droite, l'irruption de l'écrivain Axel Kaiser est resté postergada en soutenant à son frère, Johannes[18].